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On s'intéresse aujourd'hui très rapidement au set LEGO Marvel Infinity Saga 76193 The Guardians' Ship, une grosse boite de 1901 pièces vendue au prix public de 159.99 € depuis le 1er juin qui permet d'assembler une maquette du Benatar et d'obtenir au passage une poignée de personnages.
Il n'y a pas vraiment lieu de comparer le contenu de cette boite avec celui du set 76107 Thanos Ultimate Battle (674) commercialisé en 2018 au prix public de 84.99 €, il s'agissait alors d'un simple jouet pour enfant et LEGO propose aujourd'hui une autre approche avec une maquette d'exposition beaucoup plus détaillée mais aussi un peu plus fragile de ce vaisseau.
L'envergure de cette nouvelle interprétation du Benatar passe pour l'occasion de 46 à 59 cm et les 1200 pièces d'écart entre les deux produits sont bien visibles à la fois dans la finition du modèle et dans la consistance de certains éléments qui étaient plus symboliques qu'autre chose sur la version 2018.
L'assemblage de cette maquette est globalement assez plaisant, avec une première phase qui consiste à construire le corps du vaisseau et à y intégrer quelques détails amusants comme par exemple une machine à café. La structure centrale est plutôt lourde, comme lestée pour mieux soutenir les ailes et les différents appendices extérieurs.
Les techniques utilisées pour la partie la plus épaisse des ailes sont intéressantes avec un bord d'attaque joliment intégré. Les extensions sont à base de superposition de Plates, rien de très compliqué à ce niveau. L'accès à l'espace intérieur restera par la suite possible via le retrait des deux éléments de coque supérieurs et l'ouverture de la bulle frontale.
Sous le Benatar, c'est logiquement un peu moins détaillé que sur la partie visible mais le designer a tout de même symbolisé les deux réacteurs avec une superposition de disques dont l'un est transparent et l'autre légèrement opaque. Ce dernier Dish est celui livré dans le set 43183 Moana's Island Home où il servait de mare aux poissons.
L'ensemble est un peu fragile par endroits, il convient de saisir le vaisseau par la partie centrale et d'éviter de trop toucher aux ailes qui, même si elles sont solidement fixées au corps du Benatar, sont un peu moins résistantes au niveau de leurs extensions. Les appendices situés à l'arrière du vaisseau sont montés sur des Ball Joints et peuvent donc être orientés comme bon vous semble. Il ne tiendront en place que si vous ne touchez plus à la maquette, il n'y a pas de point de blocage dans une position ou une autre.
Le nombre de stickers à coller sur cette maquette me semble relativement raisonnable : sur les 14 autocollants prévus, 11 servent à décorer la carlingue du vaisseau. À vous de voir si ces quelques détails esthétiques sont indispensables ou si vous préférez vous économiser l'inévitable séchage et décollement de ces stickers sur votre jolie maquette d'exposition.
La verrière du poste de pilotage est tampographiée et elle est très réussie. Elle est inédite dans cette combinaison d'éléments graphique et de teinte même si la pièce en question est utilisée par LEGO dans une grosse poignée de boites depuis les trois exemplaires du set LEGO Star Wars 9499 Gungan Sub commercialisé en 2012. Attention aux rayures, la pièce est simplement jetée dans l'un des sachets et l'exemplaire que j'ai reçu est un peu endommagé, il nécessitera un remplacement.
Le vaisseau est installé sur un présentoir plutôt sobre dont le support supérieur est rotatif. La solution utilisée est intéressante, elle permet d'orienter le Benatar à votre guise et selon la place disponible sur vos étagères. Je regrette un peu l'absence d'une extension frontale de ce présentoir permettant d'y installer les six minifigs fournies. Vous pourrez toujours les ranger dans le vaisseau mais elles auraient mérité de trôner en bonne place devant le Benatar. La stabilité du modèle est exemplaire, il ne risque pas de basculer ou de se décrocher accidentellement du support.
Je vois d'ici venir ceux qui auraient aussi aimé avoir droit à une petite plaque de présentation agrémentée de quelques facts sur le vaisseau. La vocation de modèle d'exposition du produit étant clairement affirmée, il aurait sans doute été judicieux d'aller jusqu'au bout du concept et d'inclure cet accessoire qui fait toujours plaisir aux collectionneurs.
La dotation en minifigs est plutôt correcte avec cinq personnages majeurs et un invité générique qui aurait sans doute pu être remplacé par un autre personnage plus intéressant.
Les tampographies sont toutes très réussies et sans défaut notable. La minifig inédite de Star-Lord utilise le visage d'Owen Grady vu depuis 2018 dans une grosse poignée de sets de la gamme Jurassic World. C'est raccord et cette version de Chris Pratt me semble réussie.
Rocket Raccoon et Groot sont tous deux inédits et pour l'instant exclusifs à cette boite. Mantis réutilise logiquement la coiffure et le visage vus en 2017 dans le set 76079 Ravager Attack, le tout posé sur un torse inédit.
La minifig de Thor est identique à celle livrée dans le set 76192 Avengers : Endgame Final Battle et le Chitauri n'est pas exclusif, il est aussi livré sous cette forme depuis le 1er juin dans les sets 76186 Black Panther Dragon Flyer et 76192 Avengers : Endgame Final Battle.
Cette maquette d'exposition du Benatar me semble suffisamment détaillée pour renvoyer la version précédente au statut de jouet un peu grossier et ce nouveau modèle la remplacera rapidement sur les étagères de ceux qui ont les moyens de dépenser les 160 € demandés par LEGO. Je suis satisfait de voir que LEGO s'investit un peu pour nous proposer des vaisseaux aboutis et détaillés dans une gamme comme celle-ci, il n'y a pas que Star Wars dans la vie.
J'attends maintenant le même traitement pour l'autre vaisseau des Gardiens de la Galaxie, le Milano, afin de remplacer les jouets vus dans les sets 76021 The Milano Spaceship Rescue (2014) et 76081 The Milano vs. The Abilisk (2017).
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 16 juin 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
mpaulo - Commentaire posté le 16/06/2021 à 12h45 |
On fait aujourd'hui rapidement le tour du set LEGO Speed Champions 76903 Chevrolet Corvette C8.R Race Car and 1968 Chevrolet Corvette, une boite de 512 pièces qui permet comme son très long intitulé l'indique d'assembler deux véhicules de marque Chevrolet. D'un côté, une voiture de course, basée sur le modèle C8, qui évolue dans des championnats américains dont la plupart d'entre nous n'a sans doute jamais entendu parler et de l'autre une Corvette C3 vintage de 1968.
Chez LEGO, rien ne ressemble plus à une supercar qu'une autre supercar et cette C8.R utilise la verrière habituelle, ici tampographiée pour s'intégrer au modèle concerné. Une fois de plus, l'utilisation de cette pièce commune à de nombreux modèles LEGO rend le véhicule traité ici d'une relative banalité et il ne reste que les quelques éléments les plus caractéristiques de l'engin comme l'aileron arrière, les entrées d'air latérales et la flopée de stickers à coller pour sauver les meubles.
Je m'étais enthousiasmé un peu vite sur la décision de LEGO de tampographier les phares de certains véhicules, il semble que seules quelques pièces plates soient concernées par ce choix technique comme dans le set 76905 Ford GT Heritage Edition and Bronco R. Il faut ici installer deux autocollants par phare avant pour obtenir quelque chose qui ressemble vaguement aux optiques du véhicule de référence.
Les vitres latérales sont artificiellement prolongées par deux stickers qui permettent de respecter le design du vitrage du véhicule de référence. C'est moche, on passe du plastique fumé à une zone noire sur un sticker au fond gris trop foncé, rien ne va.
La minifig fournie avec cette Corvette C8.R est elle aussi un peu brouillonne : le blanc du torse n'est pas raccord avec celui des jambes et l'effet "combinaison" est franchement raté. Certains s'en contenteront sans rechigner, mais à 40 € la boite, je pense que LEGO pourrait faire de vrais efforts sur la finition de ces produits.
Je vous fais grâce de l'inventaire à la Prévert des différentes étapes d'assemblage des deux véhicules, les photos parlent d'elles-mêmes et ce sera à ceux qui feront l'effort d'acheter ces sets de découvrir ce que le designer leur réserve. On a une inévitable impression de déjà-vu en construisant la supercar mais le montage de la Corvette vintage est un peu plus divertissant avec quelques sous-ensembles assez ingénieux.
Comme d'habitude, le maquettisme prend régulièrement le dessus même si LEGO a regroupé les phases d'installation des stickers par sections pour ne plus interrompre en permanence celui qui construit les différents modèles. Ce regroupement permettra à un jeune fan peu habitué à l'exercice de vraiment profiter du moment et de ne faire appel à un adulte que deux ou trois fois par séance.
Si l'interprétation très générique de la supercar me laisse un peu sur ma faim, la Corvette de 1968 qui l'accompagne me semble de son côté presque réussie : la couleur est bien choisie et on retrouve globalement les formes de ce véhicule à la ligne très agressive. Les enjoliveurs tampographiés contribuent à la finition de cette Corvette qui accueille elle aussi une grosse poignée de stickers et ces quatre éléments compensent un peu la paresseuse réutilisation du pare-brise classique qui manque un peu de courbe pour vraiment convaincre. Les deux grosses Tiles du toit renforcent cette effet "carré" de la partie supérieure du véhicule sous certains angles, on fera avec.
Le problème de ce produit : tous les stickers à coller sont imprimés sur un fond transparent. En théorie, cette solution doit permettre de ne pas créer d'écarts de teinte entre les pièces et les autocollants et la démarche est louable. En pratique, c'est une catastrophe esthétique avec de très gros autocollants transparents flanqués d'un simple motif qui recouvrent la totalité de certaines Tiles et au travers desquels ont voit la colle. L'effet est ici amplifié par l'éclairage, il s'estompera sans doute un peu sur vos étagères mais il est bien présent.
En bonus, le repositionnement de ces stickers est quasiment impossible sans défigurer complètement le modèle. Je ne suis pas de ceux qui conseillent habituellement de ne pas poser les stickers sur un produit LEGO, mais je fais une exception pour cette Corvette qui sera sans doute plus jolie sans ces différents autocollants. Comme souvent, mieux vaut ne pas trop s'emballer sur la base des visuels officiels utilisés par LEGO pour vendre ses produits, la réalité est généralement un peu décevante sur le plan de la finition.
La minifig livrée avec cette Corvette de 1968 peut évidemment être installée au volant du véhicule mais elle ne tient correctement en place qu'avec son casque sur la tête. La longue chevelure qui descend dans le dos de la jeune femme ne permet en effet pas d'installer le personnage sans devoir pencher le torse vers l'avant ou retirer le dossier du siège.
Même si les stickers gâchent franchement le rendu du véhicule, je me serais d'ailleurs volontiers passé de la supercar générique livrée dans cette boite pour n'acheter que la Corvette de 1968 qui a au moins le mérite d'être immédiatement reconnaissable.
Bref, cette boite me semblait beaucoup plus attractive sur les visuels officiels qu'elle ne l'est en réalité, la faute à trop d'approximations et de choix techniques hasardeux. Je sais que LEGO ne lésine pas sur les mises en scènes et les retouches pour mettre en valeur ses produits et je suis généralement beau joueur face au vrai contenu.
Dans ce cas précis, je ne peux m'empêcher d'être un peu plus déçu que d'habitude, le vrai produit n'étant esthétiquement franchement pas à la hauteur de la promesse faite sur la boutique officielle en ligne. J'ai aussi l'impression que le travail des designers qui font l'effort d'essayer de proposer des véhicules aussi ressemblants que possible aux engins de référence et d'intégrer des techniques de construction originales est un peu saboté par une finition bâclée.
Même si beaucoup se contenteront de ce produit en l'état, c'est à chacun de fixer son niveau de tolérance et d'indulgence et en ce qui me concerne, je pense que la gamme LEGO Speed Champions met en avant un vrai savoir-faire de la part des designers qui travaillent sur ces différents véhicules et qu'elle mérite mieux que des traces de colle visibles et des stickers à la teinte mal calibrée.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 12 juin 2021 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Stanevan32 - Commentaire posté le 31/05/2021 à 18h18 |
On fait aujourd'hui rapidement le tour du set LEGO Speed Champions 76902 McLaren Elva, une nouveauté 2021 qui sera disponible dès le 1er juin prochain au prix public de 19.99 €. Pour l'occasion, cette petite boite de 263 pièces est ici accompagnée de la déclinaison du véhicule disponible dans le polybag 30343 McLaren Elva, un sachet de 86 pièces référencé sur la boutique officielle en ligne comme "article gratuit" mais sans précision pour l'instant sur une éventuelle offre promotionnelle à venir.
Il s'agit ici d'assembler la version 2020 du speedster et même si le constructeur a depuis produit une variante du véhicule aux couleurs du fabricant de lubrifiants Gulf qui aurait sans doute été plus attractive au format LEGO, on fera avec cette livrée bleue un peu triste.
Le designer s'en tire à mon avis plutôt bien sur ce dossier sachant que le format des véhicules de la gamme Speed Champions implique quelques contraintes et n'autorise pas toutes les fantaisies en matière de courbes et autres surfaces aérodynamiques.
Le speedster sans vitrage est ici relativement bien interprété et on retrouve bien quelques-uns des attributs les plus caractéristiques de cette supercar. L'absence de vitrage sur le véhicule de référence nous évite de fait la présence de la verrière générique LEGO habituelle et c'est plutôt une bonne chose.
La McLaren Elva, c'est aussi cette sellerie blanche bien visible et LEGO a choisi de traiter le sujet en tampographiant un motif sur les deux pièces chargées d'incarner le dossier des sièges. L'intention est bonne, elle contribue à limiter le nombre de stickers à coller, mais le résultat est malheureusement loin d'être aussi flatteur en vrai que sur les visuels officiels du produit et on se retrouve avec une teinte un peu fade qui n'est pas totalement raccord avec la couleur des appuie-têtes. Les sièges n'ont pas d'assise, le pilote s'enfiche sur les tenons apparents du châssis.
Il y a quelques bonnes idées sur ce modèle qui utilise lui aussi les nouveaux pneus slick directement moulés sur les jantes, notamment au niveau de l'arrière du véhicule avec deux bougies métallisées et deux lames de hache en Trans-Red utilisées pour incarner les feux. C'est joliment intégré, et c'est aussi pour ce type de solutions souvent ingénieuses et parfois surprenantes qu'on apprécie cette gamme. On retrouve deux phares avant métallisés et le reste des courbes du véhicule fait un usage intensif de Wedges avec découpe à 45°, il fallait bien ça pour rendre hommage au véhicule de référence tout en courbes en composant avec l'inventaire disponible chez LEGO.
La dotation en stickers est plutôt limitée sur le modèle du set 76902, elle ne concerne que quelques détails de carrosserie, les phares étant comme indiqué plus haut à base de pièces. L'écran tactile 8 pouces qui sert d'interface de réglage des fonctions du véhicule et de centre multimédia est reproduit sur une Tile 1x1 tampographiée fournie en deux exemplaires. Le motif imprimé est sommaire mais suffisant et l'élément est présenté sur un support de minifigs découvert avec la série de personnages DC Comics en sachets (71026).
Le véhicule du polybag de 86 pièces ne profite pas de ce niveau de raffinement, il n'a même pas de volant et il se contente de phares à base de stickers. La micro-version de la McLaren Elva en 5 tenons de large ne démérite pas pour autant, même si les passages de roues sont de simples espaces carrés noyés dans la carrosserie.
La voie d'air sur le capot qui éjecte le flux aspiré par l'avant du véhicule pour créer la bulle qui entoure le conducteur et son passager est bien présente sur les deux versions du véhicules, elle est plus symbolique sur le modèle du polybag mais elle est tout de même représentée par une Tile noire.
Le pilote fourni dans cette boite est comme d'habitude livré avec une chevelure en plus du casque, et le torse flanqué du logo McLaren est inédit. Pour ceux qui se poseraient encore la question : la clé à molette fournie dans toutes ces boites n'est pas un indicateur du niveau de panne potentiel de ces différents véhicules, elle est là pour faciliter le retrait des enjoliveurs fixés sur les jantes.
La McLaren Elva est un véhicule assez surprenant par l'absence totale de vitrage et la version LEGO donne logiquement l'impression d'un véhicule un peu plat auquel il manque quelque chose. La largeur en huit tenons accentue un peu plus ce manque de relief et ce véhicule ne fera sans doute pas l'unanimité chez les fans de supercars à base de briques. Je le trouve de mon côté plutôt réussi, avec ses solutions originales et malgré ses approximations esthétiques. Le polybag est forcément plus sommaire mais il ne démérite pas.
Les collectionneurs qui ont déjà sur leurs étagères les sets 75909 McLaren P1 (2015), 75880 McLaren 720s (2017) et 75892 McLaren Senna (2019) seront sans doute ravis de voir que le partenariat entre LEGO et la marque s'étoffe cette année d'un nouveau modèle. Pour les autres, cette McLaren Elva ne sera sans doute pas une priorité, il y a d'autres supercars plus emblématiques et plus connues du grand public que ce modèle dans la gamme Speed Champions.
Note : Les sets présentés ici, fournis par LEGO, sont comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 7 juin 2021 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Zekounet - Commentaire posté le 25/05/2021 à 20h38 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au set LEGO Speed Champions 76900 Koenigsegg Jesko (19.99 €), une petite boite de 280 pièces qui permettra dès le 1er juin prochain d'assembler la version LEGO d'un véhicule à la notoriété relativement limitée.
Koenigsegg est un fabricant automobile suédois créé en 1994 qui porte le nom de son fondateur et qui ne produit que des supercars d'exception. Le modèle dont il est question ici porte d'ailleurs le prénom du père du fondateur de la marque. Les amateurs de véhicules sportifs seront sans doute ravis de voir cette marque intégrer la gamme LEGO Speed Champions aux côtés des ténors du secteur, en espérant au passage que LEGO nous propose un jour le modèle 2020, la Jesko Absolut, qui est une évolution de la version 2019 représentée ici, débarrassée de l'imposant aileron arrière.
Ne vous attendez pas à une maquette très fidèle au modèle de référence, c'est du LEGO et nous savons tous qu'il est souvent compliqué de reproduire des courbes crédibles à l'échelle choisie. Heureusement que le fabricant est passé sur une base de 8 tenons de large, ce changement qui n'est pas du goût de tout le monde permet pourtant de limiter franchement la casse lorsqu'il s'agit de reproduire une supercar très ramassée et toute en courbes aérodynamiques.
Même en 8 tenons de large, le designer ne fait pas de miracles et la version LEGO de la Jesko est une interprétation très "libre" du sujet de départ. L'accent est mis sur quelques-uns des attributs significatifs du véhicule pour nous faire oublier que la verrière est une version générique qui n'a pas grand chose à voir avec celle de la vraie Jesko et qui par extension donne un peu l'impression que tous les véhicules qui utilisent cette pièce sont de la même marque.
Comme pour la Ford GT du set 76905 Ford GT Heritage Edition and Bronco R dont je vous parlais il y a quelques jours, ce modèle utilise les nouvelles roues avec le pneu slick injecté directement sur la jante et le résultat est très convaincant.
L'avant de la Jesko en version LEGO joue un peu sur les ombres pour minimiser l'impression de vide et ce sera à chacun de juger la pertinence de cette approche créative. La dérive centrale est un hachoir de boucher qui trouve parfaitement sa place, l'effet est intéressant. Le support de maintien de l'aileron arrière placé au centre du véhicule est très bien intégré et de profil, la version LEGO s'en sort plutôt bien.
C'est du Speed Champions et il faut donc s'attendre à une très grosse poignée d'autocollants dans cette boite. Il y a effectivement 20 stickers à coller soit un autocollant pour quatre étapes d'assemblage. Les phares avant ne sont pas tampographiés sur ce modèle, c'est dommage. Deux de ces stickers ont pour mission de prolonger le vitrage latéral vers l'arrière pour imiter la forme des vitres du modèle de référence, c'est raté et c'est moche. On se consolera avec le logo de la marque tampographié sur la tranche d'une pièce 1x1 placée à l'arrière du véhicule.
La verrière est tampographiée, on pourrait donc se satisfaire de ne pas avoir d'autocollants à installer sur cet élément, mais la portion de carrosserie qui en principe circule autour de la vitre placée au centre du toit est ici incarnée par une bande d'encre vaguement blanche qui n'est pas du tout raccord avec la teinte légèrement crème des autres éléments. Le contraste est flagrant et c'est une fois de plus totalement raté.
Pour le reste, le designer a tenu à reproduire les quelques touches de couleur qui habillent les bas de caisse du véhicule de référence et on se retrouve avec des tâches colorées forcément beaucoup moins discrètes. Paradoxalement, les étriers de frein vert sont absents, je n'aurais pourtant gardé que ce détail et j'aurais volontiers fait l'impasse sur les deux quarts de cercles verts pour les remplacer par des stickers. La minifig fournie dispose d'une chevelure additionnelle, c'est appréciable pour exposer le pilote avec son casque à la main. La tenue du personnage est sobre mais bien exécutée.
Bref, on retiendra que LEGO élargit sa collection de petites voitures à des marques moins connues du grand public et c'est une bonne nouvelle pour tous ceux qui attendent de cette gamme une couverture étendue de l'univers des supercars. La Jesko en version LEGO reste très approximative, elle subit vraiment les limitations du format et le design très élégant du véhicule de référence s'estompe franchement lors de la conversion.
Les quelques bonnes idées du modèle ne sauveront pas les meubles, mais les collectionneurs qui veulent absolument aligner toutes les références de la gamme sur leurs étagères feront avec. Pour les autres, il y a des modèles beaucoup plus réussis dans cette gamme et celui-ci ne mérite à mon avis pas qu'on dépense les 20 € demandés par LEGO.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 3 juin 2021 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
SLTCMAX - Commentaire posté le 25/05/2021 à 22h09 |
Comme promis, on fait rapidement le tour du set LEGO Marvel 76178 Daily Bugle, une très grosse boite dévoilée aujourd'hui par LEGO qui sera disponible dès le 26 mai 2021 en avant-première VIP et au prix public de 299.99 €.
Il s'agit donc ici d'assembler la version LEGO du Daily Bugle, le journal New-Yorkais dirigé par J. Jonah Jameson et pour lequel travaille Peter Parker en qualité de photographe indépendant.
Rassurons tout de suite ceux qui imaginent déjà pouvoir intégrer ce bâtiment de 82 centimètres de haut dans leur ville LEGO constituée de Modulars Creator Expert : la construction est installée sur une plaque de base 32x32 et rien ne dépasse des quatre côtés, il restera des allées étroites et sombres entre les bâtiments avec deux containers, un kiosque à journaux, une grosse plaque d'égout avec un sticker, un rat et quelques cartons qui traînent.
Le trottoir est au format habituel avec sa bordure gris clair (Medium Stone Grey) et ses dalles gris foncé (Dark Stone Grey) et LEGO a prévu quatre points de connexion pour intégrer le Daily Bugle dans votre quartier préféré. Certains regretteront peut-être que le bâtiment n'occupe pas plus de surface au sol et que la construction devienne moins profonde dès le deuxième étage.
Lorsque les premières rumeurs autour de cette boite avaient circulé, j'avais imaginé un bâtiment dans l'esprit de celui du set 76005 Spider-Man : Daily Bugle Showdown commercialisée en 2013, avec des murs en briques beiges et une architecture un peu différente de celle proposé ici. Le designer a choisi de proposer un bâtiment gris avec de larges surfaces vitrées semblable à celui vu dans le jeu vidéo Marvel's Spider-Man : Miles Morales. Pourquoi pas, mais la couleur dominante me semble mal choisie.
La construction est décomposée en cinq sections : le rez-de-chaussée, les trois étages et le toit. Chacun de ces modules peut être retiré pour permettre l'accès par le haut aux aménagements intérieurs du module inférieur. Mais la modularité du set ne s'arrête pas là et il est possible de retirer la façade des trois étages pour un accès de face aux bureaux installés dans les lieux.
Le système est ingénieux, il n'y a pas besoin de forcer et ça tient. Pour le 2ème et le 3ème étage, il faudra juste s'assurer de ne remettre la façade d'un étage en place que lorsque le niveau inférieur est installé sur la construction. La façade du rez-de-chaussée n'est pas amovible, mais le designer à prévu un accès par le côté du bâtiment, via un sous-ensemble qui peut-être retiré grâce à la poignée intégrée. L'accès à cet espace reste malgré tout relativement laborieux, même s'il n'abrite finalement que le hall d'entrée du Daily Bugle et le bureau du réceptionniste.
La façade du deuxième étage a été "explosée" pour laisser passer le Goblin Rider fixé sur une tige transparente. La dynamique de la scène est excellente, les rails et le vitrage suspendus dans le vide sont installés de manière très réaliste. Il n'est pas possible de remettre le bâtiment dans son état initial via un quelconque mécanisme, cette explosion n'étant pas optionnelle, mais c'est le seul élément contextuel figé de ce diorama. Les plus courageux qui voudront se passer de cette mise en scène pourront toujours bricoler la façade pour qu'elle soit intacte, toutes les pièces nécessaires sont présentes et il n'y a rien de compliqué dans la technique utilisée.
L'expérience de construction est globalement satisfaisante, on alterne comme souvent entre séquences un peu répétitives pour les murs, les façades ou les différents modules de l'escalier de secours et les phases un peu plus intéressantes d'assemblage du mobilier et de mise en place des éléments décoratifs.
Comme souvent, beaucoup des pièces transparentes présentes dans les différents sachets sont déjà rayées au déballage. Les sachets trop grands et la boite trop volumineuse pour ce qu'elle contient n'aident pas, surtout lors des phases logistiques au cours desquelles les sachets et les pièces se promènent librement.
On n'échappe pas aux habituels écarts de teinte entre les différentes pièces grises, c'est subtil selon l'éclairage mais l'écart est bien présent. Autre détail à signaler : l'exemplaire du set que j'ai reçu contenait une pièce mal moulée qui nécessitera un remplacement via le service client.
Les différents bureaux du Daily Bugle sont très correctement aménagés, c'est du niveau des meilleurs Modulars avec sols recouverts de Tiles, bureaux divers et variés, chaises, ordinateurs, écrans de télévision, photocopieuse, machine à café, etc... on obtient ici une grosse fournée de mobilier professionnel à construire, ça nous change un peu des lits et des commodes. L'ascenseur intégré dans tous les étages n'est évidemment pas fonctionnel, mais les portes avec leurs indicateurs lumineux de montée et de descente sont bien intégrées, on y croirait presque.
La façade du bâtiment est habillée d'énormes écrans recouverts de stickers, on y trouve notamment une référence à l'arc Clone Saga publié en 1975 puis continué dans les années 90 avec sur le plus gros de ces écrans le Professeur Miles Warren (Le Chacal) et le docteur "Kurt" (ici avec un K au lieu d'un C) Connors, tous deux à l'origine du clone de Peter Parker, Ben Reilly aka Scarlet Spider. Sur le flanc, un second écran fait référence à la course de Norman Osborn à la mairie de New-York.
Le Daily Bugle est aussi connu pour son enseigne en grosses lettres généralement placée au sommet du bâtiment et cette boite nous permet d'assembler une version de la chose que je trouve très réussie même si elle renforce un peu l'impression d'obtenir ici un building très étroit en dépassant largement des deux côtés du toit.
Si vous manquez de place en hauteur, vous pourrez toujours raccourcir ou retirer l'émetteur d'une trentaine de centimètres et le réservoir placés au sommet. Du sol jusqu'au sommet de l'enseigne, le bâtiment ne mesure que 61 cm. L'escalier de secours rouge qui circule le long du flanc gauche de la construction est plutôt bien intégré même si j'aurais préféré un coloris plus sombre, Dark Red ou marron foncé par exemple, que le rouge vif utilisé ici.
Deux véhicules sont fournis, un taxi new-yorkais en 6 tenons à la finition impeccable et un Spider Buggy qui finit sa carrière en haut du bâtiment sur les visuels officiels. Le taxi pourra au choix circuler simplement dans la rue ou finir en dommage collatéral d'une attaque de Sandman qui surgit du trottoir via un support orientable à la dynamique très bien pensée sur lequel on vient enficher le personnage.
Autre détail intéressant, la présence de 18 Tiles toutes tampographiées qui distillent des références diverses et variées via des unes de journaux. Ces différentes pièces sont installées dans les bureaux, soit au sommet d'une pile de journaux, soit accrochées aux murs. Il y a quinze versions différentes dont une Tile fournie en quatre exemplaires. Deux grosses planches de stickers sont également livrées dans cette boite avec quelques autocollants sur fond transparent et de très gros stickers à coller sur les écrans intérieurs et extérieur du journal. je salue au passage le joli travail du graphiste qui a travaillé sur les différents stickers représentant des écrans, c'est très réussi.
La dotation en minifigs est ici à la hauteur du sujet traité et du prix public de la boite avec 25 figurines différentes. Ceux qui n'achètent pas ou peu d' autres sets de la gamme LEGO Marvel y trouveront forcément de quoi étoffer leur collection avec de nombreux personnages. Pour les habitués de la gamme, il faudra une fois de plus se contenter de beaucoup de personnages "civils" secondaires, d'une grosse poignée de super héros ou de super méchants déjà vus dans d'autres boites et il ne reste au final que cinq héros en costume vraiment inédits.
Les personnages en tenue vraiment inédits de cette boite : le canardeur The Punisher (Frank Castle), le justicier de Hell's Kitchen Daredevil (Matthew Murdock), Blade (Eric Brooks), la mutante Firestar (Angelica Jones) capable de générer et de maîtriser des micro-ondes et la cambrioleuse Black Cat (Felicia Hardy) capable de modifier les probabilités pour tourner la situation à son avantage.
La minifig du Punisher est correcte, même si la chevelure utilisée ne me semble pas être le meilleur choix pour ce personnage. Le contraste entre le blanc des mains et des pieds, teinté dans la masse, et la zone tampographiée du torse est un peu moins gênant que pour d'autres figurines, le symbole étant généralement un peu estompé sur le torse du personnage. La ceinture devrait en revanche être d'un blanc plus...blanc pour convaincre.
Il manque à mon avis un accessoire à la figurine de Blade pour vraiment rendre hommage au personnage : sa longue veste en cuir. Les jambes auraient aussi pu hériter de quelques détails visuels comme une sangle de holster ou quelques dagues tampographiées. En l'état c'est service minimum pour cette figurine inédite.
La minfiig inédite de Daredevil est assez réussie, le costume rouge vif manque un peu de zones plus sombres et le choix du Dark Red s'imposait à mon avis pour rendre le personnage moins flashy, sachant que les bras et les jambes sont ici désespérément neutres. La zone du visage tampographiée sur la tête est convaincante, le coloris chair vire un peu vers le rose en raison de la superposition des teintes mais c'est supportable.
LEGO n'aura pas fait l'effort de fournir à Firestar des jambes en deux couleurs pour nous permettre d'obtenir une minifig vraiment aboutie avec ses bottes rouges. C'est dommage, le reste de la figurine est correctement exécuté pour un personnage dont la tenue est relativement simple. Black Cat a de son côté droit à des jambes en deux couleurs et l'écart de teinte avec le blanc tampographié sur le torse noir se fait un peu remarquer.
Du côté des "civils", on obtient tout de même quelques têtes d'affiche comme J. Jonah Jameson, Tante May, Peter Parker et Gwen Stacy. Le reste du casting est composé de personnages plus secondaires : Betty Brandt, la secrétaire de Jameson, le rédacteur en chef Joseph "Robbie" Robertson, les journalistes Ben Urich et Ron Barney, la photographe Amber Grant et Bernie le chauffeur de taxi.
Le reyclage est à l'œuvre dans cette boite et beaucoup de ces minifigs utilisent des éléments déjà vus sur d'autres personnages combinés à quelques pièces à la tampographie inédite. J. Jonah Jameson utilise par exemple le torse de Hans Christian Andersen (40291) mais avec des mains couleur chair, Ben Urich endosse le torse de Bruce Wayne et la tête de Florean Fortescue (Harry Potter), Peter Parker porte la veste de Jack Davids (Hidden Side) et Tante May a enfilé le pull d'Hermione Granger et elle conserve son visage habituel utilisé depuis 2016 qui est aussi celui de la sorcière à chariot dans l'univers Harry Potter.
Bernie porte le gilet gris déjà vu sur Harry Potter ou Zach Mitchell (Jurassic World) et le chauffeur de taxi est aussi le sosie de Sinjin Prescott (Jurassic World) dont il reprend le visage. Gwen Stacy a les traits de Rey Palpatine, elle porte une tenue similaire à celle de Rami (Hidden Side) et LEGO rate l'occasion de nous livrer sa coiffure signature avec son serre-tête noir. Betty Brandt utilise le visage de Tina Goldstein (Fantastic Beasts) et Monica Geller (FRIENDS) sous les cheveux de Madame Maxime (Harry Potter) et elle porte la blouse de Ginny Weasley (Harry Potter).
Du côté des super héros en tenue déjà vus ailleurs, LEGO nous ressort 10 figurines commercialisées dans au moins un set ces dernières années : Spider-Man, dans sa version combinant jambes injectées en deux teintes et bras tampographiés, et Doctor Octopus tous deux livrés cette année dans le set 76198 Spider-Man & Doctor Octopus Mech Battle, Spider-Ham (76151 Venomosaurus Ambush), Miles Morales (76171 Miles Morales Mech), Ghost Spider (76174 Spider-Man's Monster Truck vs. Mysterio), Venom (76115 Spider Mech vs. Venom, 76150 Spiderjet vs. Venom Mech, 76175 Attack on the Spider Lair et 40454 Spider-Man vs Venom & Iron Venom), Carnage (76163 Venom Crawler), Mysterio (76174 Spider-Man's Monster Truck vs. Mysterio), Sandman (76172 Spider-Man and Sandman Showdown) et Green Goblin (76175 Attack on the Spider Lair).
On retiendra la solution utilisée ici pour les bras mécaniques de Doctor Octopus avec une enfilade de supports pour minifigs découverts avec la série DC Comics en sachets (71026), livrés ici en gris. Si l'effet obtenu est visuellement plutôt intéressant, la maniabilité des appendices est en revanche moins aisée qu'avec les solutions habituelles et il n'est pas rare de devoir réassembler un bras dont quelques pièces se sont détachées.
En ce qui me concerne, cette boite trouvera évidemment sa place dans ma collection même si ce n'est pas la très grosse fête que j'attendais, peut-être un peu naïvement, au niveau du casting de personnages fourni. Comme je le disais plus haut, je suis aussi partagé concernant la construction : j'aurais aimé un autre coloris extérieur pour ce Daily Bugle à la façade grise et à la sortie de secours un peu trop colorée mais les espaces intérieurs sont bien aménagés avec un niveau de finition très satisfaisant. L'accès à ces différents espaces via les trois façades amovibles est un vrai plus pour ceux qui voudraient jouer avec même si LEGO présente ce set comme un produit d'exposition haut de gamme pour fan adulte.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 30 mai 2021 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Axel76 - Commentaire posté le 18/05/2021 à 21h59 |
- Woodypecker : Bonnes fêtes de fin d'année à tous !...
- Chef2groupe : Bonnes fêtes de fin d'année à toi, Chloé, à toutes et à tous...
- Pats : Est-ce que le code fonctionne à l’extérieur de la France?...
- Cédric : Attendez, on n'est pas encore passé en 2025. L'augmentation...
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