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On s'intéresse aujourd'hui au set LEGO Batman 76119 Batmobile : Pursuit of The Joker (342 pièces - 29.99 €), une boite dont l'appellation est un peu trompeuse : de quelle poursuite LEGO parle donc ? Le Joker est à pied et il n'ira pas bien loin.
Bref, dans ce set, il s'agit donc de construire une Batmobile qui rappellera des souvenirs aux fans du Batman de Tim Burton et aux heureux propriétaires du très réussi set 7784 The Batmobile Ultimate Collector's Edition commercialisé en 2006.
Mais ne rêvons pas, à 30 € la boite, la version du véhicule proposée ici ne mesure que 24 cm de long et n'encombrera pas vos étagères. Pourtant, cette Batmobile ne démérite pas avec une finition très correcte et même quelques fonctionnalités qui apportent un peu de jouabilité.
Je vous fais grâce de mon avis sur "l'expérience de construction", les 300 pièces du véhicule sont très vite assemblées. Au rayon des fonctionnalités amusantes, le réacteur arrière entre en rotation lorsque le véhicule se déplace. Dit comme ça, ça semble anodin, mais sur un set à 30 € c'est déjà pas si mal.
Deux Stud-Shooters sont placés sur les flancs de la Batmobile et ils sont même escamotables. On frise la surenchère de fonctionnalités sans défigurer l'engin, bravo pour ça. Le poste de pilotage est plutôt détaillé et peut accueillir Batman avec son masque sur la tête sans devoir forcer sur le toit du véhicule. C'est un détail mais sur certains sets les postes de pilotage ne sont pas toujours aussi spacieux.
Les enjoliveurs de la Batmobile sont tampographiés, il n'y a d'ailleurs aucun sticker dans cette boite et c'est important de le souligner. Si vous perdez un enjoliveur, LEGO vous en fournit un exemplaire supplémentaire dans la boite. LEGO n'oublie pas au passage de nous livrer une quinzaine de Batarangs dans toutes les tailles dont un exemplaire vient servir de calandre mobile sous laquelle se cachent deux entrées d'air.
La garde au sol du véhicule est très restreinte, c'est aussi ce qui lui donne de l'allure mais c'est un détail qui peut nuire à la jouabilité en fonction des surfaces sur lesquelles vous vous amuserez avec. La finition est exemplaire, rien ne dépasse et il n'y a que les quelques tenons visibles sur la carrosserie qui trahissent le fait qu'il s'agit ici d'un modèle LEGO et non pas d'une maquette.
Bref, il n'y a aucune raison de se priver de cette Batmobile très réussie et relativement abordable. Elle pourra être exposée seule sur le coin de l'étagère où vous rangez vos comics et/ou être associée à la Batcave du set 76122 Batcave Clayface Invasion dont nous reparlerons prochainement. LEGO aurait au moins pu fournir au moins un vélo pour le Joker, histoire de faire honneur à l'intitulé du set.
Du côté des minifigs fournies dans cette boite, je suis un peu moins enthousiaste. Il y a sans doute un peu de lassitude vis à vis de Batman dont les multiples exemplaires et autres variantes s'accumulent dans mes tiroirs. Même chose pour le Joker.
La minifig de Batman livrée ici est inédite mais elle est aussi identique dans les quatre nouvelles boites (réf. 76118 à 76122) commercialisées depuis quelques jours. Le visage du personnage souffre du problème habituel que rencontre LEGO lorsqu'il s'agit de tampographier une couleur claire sur un fond sombre. C'est vraiment décevant. Le torse est réussi, mais on a un peu l'impression d'avoir vu ce type de motifs déjà cent fois par le passé.
Le torse de la minifig du Joker est lui aussi inédit et vraiment exclusif à ce set, en tout cas pour l'instant. Pour ceux qui se demandent où ils ont déjà vu cette version du personnage, c'est celle du jeu vidéo LEGO DC Super Villains lancé en 2018, les motifs sur les bras en moins.
LEGO a eu la bonne idée d'utiliser un torse violet et d'y tampographier les éléments verts qui sont à peu près de la même teinte que les bras du personnage. Le veston est donc parfaitement assorti aux jambes et la minifig est visuellement très réussie. La tête n'est pas inédite, c'est celle du personnage livré dans le set Juniors 10753 The Joker Batcave Attack (2018).
En résumé, c'est sans doute l'une des Batmobiles les plus réussies de l'histoire de la gamme DC Comics que LEGO nous propose ici. Le modèle est compact mais il est à peu près à l'échelle des minifigs, il rend hommage à un set culte et il me ramène quelques années en arrière à l'époque où Michael Keaton et Jack Nicholson endossaient respectivement le costume de Batman et du Joker. Rien que pour ça, je dis oui.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de poster un commentaire (évitez les "Je participe, je tente, etc..." soyez un peu plus constructifs) sur cet article avant le 7 juillet 2019 prochain à 23h59. Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec moi, ce n'est pas éliminatoire.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
batbricks - Commentaire posté le 25/06/2019 à 10h41 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au set LEGO Harry Potter 75948 Hogwarts Clock Tower (922 pièces - 99.99 €), une boite qui est à la fois une nouvelle extension du Poudlard modulaire en version System lancé en 2018 et qui est aussi un set basé sur le bal de Noël (Yule Ball) vu dans le film Harry Potter et la Coupe de Feu, avec huit personnages livrés dans les tenues de gala apparaissant dans cette scène du film.
De l'extérieur, la construction s'intègre parfaitement au modèle global imaginé par les designers. On retrouve logiquement le même style architectural que dans les sets 75953 Hogwarts Whomping Willow, et 75954 Hogwarts Great Hall, les même murs, les mêmes toits et les mêmes stickers pour une continuité visuelle parfaite entre les différentes constructions qui s'assemblent entre elles pour former un Poudlard à la fois convaincant visuellement et jouable.
Comme d'habitude, les stickers qui doivent être collés sur les murs ne sont toujours pas de la même teinte que les pièces sur lesquelles ils prennent place. Dommage pour un jouet à 100 €.
Comme il s'agit ici d'un lot de personnages en tenue de bal, LEGO inclut logiquement la mini-salle de bal avec manège rotatif qui permet de mettre en scène les minifigs deux par deux sur les supports prévus et d'animer le tout manuellement en faisant tourner la plaque grise placée sous les différentes estrades blanches.
C'est minimaliste et pas vraiment amusant, mais comme d'habitude, on sait que c'est là en référence à la scène concernée et ça suffira pour la plupart des fans. Il y avait probablement plusieurs solutions possibles pour intégrer un mécanisme discret qui aurait permis de faire tourner le manège sans y mettre les doigts, mais le designer a choisi de faire l'impasse sur cette possibilité.
Le reste de ce qu'on pourrait appeler la "salle de bal" n'est matérialisé que par quelques tables sur lesquelles sont posés des verres et des cristaux et par un sapin enneigé. Ces différents éléments ne sont pas directement reliés à la constructions principale, alors qu'une simple plaque de base blanche ou grise recouverte de Tiles aurait pu donner un peu plus d'allure au lieu.
Les pièces fragiles sont glissées dans les mêmes sachets que celles qui craignent moins les déplacements et les secousses, il en résulte quelques rayures très agaçantes sur certaines d'entre elles. Je sais que le service client de la marque est très performant, mais c'est toujours désagréable de ne pas disposer d'un produit en parfait état du premier coup. Mon exemplaire n'échappe pas à la règle et c'est la petite horloge qui a subi quelques dommages.
La manivelle accessible du côté de l'infirmerie permet de mettre en mouvement les aiguilles de la grande horloge. Les deux aiguilles sont solidaires entre elles, vous devrez donc d'abord choisir les minutes avant de changer d'heure.
La construction étant prévue pour agrandir la version de base de Poudlard, on retrouve ici de nouveaux espaces emblématiques de la saga cinématographique dont l'infirmerie de l'école avec ses paravents bleus. Les meubles présents sont bien réalisés et l'endroit est assez grand pour y placer des minifigs, mais c'est comme d'habitude chez LEGO une représentation très symbolique des lieux. On peut regretter l'absence de Madame Pomfresh dans cette boite, sachant que l'infirmerie occupe ici une place importante de la construction.
On trouve plus bas la salle dans laquelle ont lieu les cours de défense contre les forces du mal, ou plutôt l'unique bureau qui sert ici de représentation symbolique. On y trouve aussi un livre avec une page représentant le sortilège de Lévitation. C'est trop minimaliste pour être vraiment convaincant mais je note qu'un effort a été fait sur l'aménagement des lieux avec de nombreux accessoires.
Le bureau d'Aldus Dumbledore est ici étrangement placé sous le toit et la version LEGO ne rend pas vraiment hommage au spacieux bureau circulaire vu dans les films avec ses rayonnages de livres et ses escaliers latéraux. Dumbledore ne peut pas s'asseoir en raison de la pièce utilisée pour représenter la tunique du personnage et il ne peut donc pas prendre place correctement derrière son bureau. Fumseck et le Choixpeau sont bien présents dans le bureau, mais uniquement via deux très gros stickers plaqués sur les murs.
La salle de bains des préfets passe ici du cinquième étage au rez de chaussée, aucun mot de passe n'est nécessaire pour y rentrer, la construction donne directement sur la cour de Poudlard... Pas d'œuf d'or et c'est dommage mais heureusement le vitrail avec la sirène stylisée à la sauce LEGO (c'est un sticker difficile à appliquer correctement) est en revanche très réussi.
Des murs, des toits et des micros espaces à peine jouables qui font référence à des lieux emblématiques de la saga cinématographique Harry Potter, c'est bien. Mais un gros assortiment de minifigs inédites, c'est encore mieux. Et comme la gamme Harry Potter est très prisées des collectionneurs de minifigs, on est en droit de chipoter un peu sur la finition de ces figurines.
LEGO livre huit personnages dans ce set : Harry Potter, Ron Weasley, Hermione Granger, Fleur Delacour, Cedric Diggory, Viktor Krum, Albus Dumbledore et Madame Maxime. C'est une dotation très correcte même si en y regardant de plus près la finition de certaines figurines est très approximative et s'il manque évidemment Parvati Patil dans cette boite...
Harry Potter est ici en tenue de bal et la minifig est dotée des jambes articulées de taille intermédiaire qui permettent d'obtenir une figurine à peu près à l'échelle des autres personnages du set. Le personnage est habillé d'un costume simple mais fidèle à la tenue vue à l'écran. Le blanc de la chemise et du nœud papillon s'estompe sur le fond noir, c'est dommage. Même constat pour la minifig de Cedric Diggory avec une chemise un peu terne.
La chevelure de Viktor Krum est beaucoup trop garnie par rapport à celle du personnage du film. La tenue de la minifig est très bien réalisée mais ce détail capillaire me semble un peu décevant.
La minifig de Ron Weasley est relativement fidèle sur le plan du design du costume du personnage, mais les couleurs de la tunique me semblent mal choisies. En prime,. on distingue difficilement les motifs de la veste qui sont quasiment ton sur ton.
Jambes noires neutres pour ces quatre personnages, c'est un peu terne mais c'est dans l'esprit de la scène représentée.
La minifig de Madame Maxime est très correcte même si un effort aurait pu être fait pour représenter les motifs de la dentelle présente sur sa poitrine sur un fond couleur chair. La jonction des motifs entre le torse et le bas de la robe est correcte, l'alignement est quasi parfait.
Il manque des motifs sur le chapeau d'Albus Dumbledore qui n'est en prime pas de la bonne couleur et la tampographie n'est pas d'une précision exceptionnelle avec un très gros écart entre le torse et le bas de la tenue des deux côtés de la figurine. Et c'est sans parler des couleurs appliquées sur le fond violet qui ne sont pas assorties avec celles appliquées sur le fond blanc du torse. C'est raté.
La robe de Fleur Delacour est réussie, mais il manque des plis tampographiés sur le bas du vêtement incarné ici par une pièce neutre. La couleur chair présente sur les deux côtés du torse est beaucoup trop claire. LEGO n'a toujours pas trouvé de solution à ce problème vraiment agaçant.
La demi minifig d'Hermione est de la même taille que celle d'Harry Potter mais c'est au prix de l'utilisation de pièces standards. La robe est plutôt fidèle même si les manches courtes de la tenue disparaissent ici au profit de bras complètement nus. petit problème d'alignement entre le torse et le bas de la robe au niveau du nœud, mais on a l'habitude avec LEGO...
Poudlard prend ses aises avec ce troisième module à associer aux deux premiers. Le budget nécessaire pour disposer de l'ensemble de ce playset modulaire de luxe s'étoffe lui aussi et atteint maintenant plus de 280 €. Pensez-y avant de vous lancer : si vous investissez dans l'un des trois sets concernés, vous ne résisterez pas longtemps avant de décider de faire l'acquisition des deux autres boites. Et c'est sans compter sur les sets potentiels à venir qui viendront peut être agrandir Poudlard et creuser un peu plus profond dans votre portefeuille.
Les huits minifigs livrées ici ont leurs défauts dont certains sont des problèmes purement techniques que LEGO ne semble toujours pas en mesure de résoudre, mais ce sont des versions inédites basées sur un événement précis que nous ne reverrons probablement pas de sitôt dans la gamme LEGO Harry Potter, alors il faudra faire avec.
Bref, si vous êtes fan de la saga et que vous avez déjà commencé à collectionner les boites sorties l'an dernier, vous n'avez pas trop le choix. Pour les autres, ce set a à mon avis un peu de mal à se suffire à lui-même avec ses micro-scènes et ses minifigs qui font référence à une scène particulière et qui ne sont donc pas des versions suffisamment "génériques" des personnages principaux.
LE SET 75948 HOGWARTS CLOCK TOWER SUR LE SHOP LEGO >>
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de poster un commentaire (évitez les "Je participe, je tente, etc..." soyez un peu plus constructifs) sur cet article avant le 7 juillet 2019 prochain à 23h59. Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec moi, ce n'est pas éliminatoire.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Spike - Commentaire posté le 25/06/2019 à 09h34 |
On finit ce tour d'horizon des sets LEGO Marvel inspirés du film Spider-Man : Far from Home avec la référence 76130 Stark Jet and the Drone Attack (504 pièces - 69.99 €) qui met en scène comme son appellation l'indique le jet de la société Stark Industries qui subit ici une attaque de drones.
Avec un avion et deux drones, il y a de quoi s'amuser et c'est bien l'objectif de cette boite destinée aux plus jeunes fans. Le jet à construire n'est pas un exploit de créativité, il suffit d'empiler quelques pièces et de coller quelques stickers pour obtenir un engin relativement solide et jouable.
Comme d'habitude, je vous recommande bien vérifier l'état des pièces transparentes au déballage. La verrière fournie ici est sujette aux rayures lorsqu'elle se promène dans son sachet en compagnie d'autres pièces. Je sais que la tendance est à la réduction des déchets plastiques, mais comme chez LEGO on n'est plus à quelques grammes près entre les pièces et les sachets, je rêve d'un sous-emballage qui protégerait correctement ces pièces transparentes.
Une fois n'est pas coutume, le cockpit de l'avion est accessible aux gros doigts avec une large section mobile qui permet de glisser facilement trois personnages à l'intérieur. La finition des ailes laisse un peu à désirer, mais on fera avec.
À l'arrière, on trouve un large compartiment lui aussi facilement accessible qui permet d'embarquer les trois bombes fournies. Ces dernières seront larguées sur les drones ou sur ce que vous voulez détruire.
Comme pour le vaisseau du set 76126 Avengers Ultimate Quinjet, LEGO a encore une fois oublié d'intégrer des trains d'atterrissage sur ce jet qui aurait vraiment eu un peu plus d'allure avec quelques roues.
Sous l'avion, on trouve la trappe qui permet de bombarder votre cible et accessoirement de permettre à Spider-Man de se balancer au bout de sa toile. Cette trappe est ouverte via une simple pression sur le bouton gris placé sur le dos de l'avion.
C'est bien réalisé et correctement intégré pour ne pas défigurer la construction tout en apportant un peu de jouabilité, mais à l'usage, on s'aperçoit rapidement qu'il devient impossible d'ouvrir la trappe si la main de celui qui fait voler l'engin est placée juste dessous. C'est peut-être un détail pour certains d'entre vous, mais c'est un défaut constaté par mon fils après quelques secondes seulement de manipulation...
Les deux drones livrés dans cette boite sont plutôt bien conçus et sont équipés de Stud-Shooters qui tombent parfaitement sous les doigts de l'utilisateur. L'avion est lui aussi équipé de deux canons, pour que les forces en présence soient à égalité lorsqu'il s'agira de chercher les petits projectiles éjectés sur le sol de la chambre.
Au risque d'avoir l'air de me répéter, la différence de teinte entre les stickers imprimés sur un fond (vraiment) blanc et les pièces dont la couleur vire au blanc cassé est un peu dérangeante. Les motifs imprimés sur les différents stickers ne se fondent pas sur leur support et j'aurais préféré des autocollants transparents. Même constat pour la teinte de la verrière qui n'est pas vraiment coordonnée avec le reste des pièces de la carlingue.
Du côté des minifigs, c'est un peu décevant même si la minifig de Nick Fury sauve les meubles. Elle est inédite et pour l'instant exclusive à cette boite, même si elle réutilise les jambes du Général Hux et de Severus Snape.
Harold "Happy" Hogan est raté et décevant. La minifig ne ressemble pas du tout à Jon Favreau avec la tête de Kazuda Xiono, le jeune héros de la série animée Star Wars Resistance vu récemment dans le set LEGO Star Wars 75240 Major Vonreg's TIE Fighter.
Le torse de cette minifig peut être considéré comme générique, c'est celui déjà utilisé pour les minifigs d'Alfred Pennyworth (76052), Eli Mills (75930) on encore pour un homme de main dans un set de la gamme LEGO Overwatch (75971).
La minifig de Spider-Man est identique à la version livrée dans les sets basés sur le film Homecoming, 76083 Beware the Vulture (2017) et 76083 ATM Heist Battle (2017) et dans le pack 40343 Spider-Man and the Museum Break-In.
La minifig de Mysterio est identique à celle déjà vue dans les deux autres sets basés sur le film et elle n'est toujours pas livrée avec le visage de Jake Gyllenhaal.
Bref, pour les plus jeunes, il y a de quoi s'amuser avec le jet et les deux drones mais les collectionneurs qui comptaient sur cette boite pour obtenir une minifig de Jon Favreau en seront pour leurs frais avec la figurine générique proposée par LEGO. Il reste une jolie version de Nick Fury qui à mon avis ne mérite pas de dépenser 70 € dans cette boite.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de poster un commentaire (évitez les "Je participe, je tente, etc..." soyez un peu plus constructifs) sur cet article avant le 30 juin 2019 prochain à 23h59. Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec moi, ce n'est pas éliminatoire.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort (désolé pour le délai) et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Dschrute - Commentaire posté le 22/06/2019 à 16h45 |
LE SET 76130 STARK JET AND THE DRONE ATTACK SUR LE SHOP LEGO >>
C'est une boite dont l'annonce n'aura pas laissé grand monde indifférent : le contenu du set 75936 Jurassic Park: T. rex Rampage (3120 pièces - 249.99 €) divise les fans et le moment est venu d'y regarder de plus près pour voir où se cachent les 3120 pièces annoncées par LEGO.
Il est évident que le but premier de ce test est de parler de ce qu'il y a dans la boite. Mais il est difficile de ne pas mentionner ce qui à mon avis manque cruellement dans ce set qui se veut comme un hommage à l'ensemble de la saga Jurassic Park : un exemplaire du véhicule culte et immédiatement reconnaissable, la Ford Explorer aux couleurs du parc.
LEGO, qui a pourtant l'habitude de ne pas manquer une occasion de nous fournir des véhicules divers et variés même quand c'est franchement hors sujet, a décidé de faire l'impasse sur les 150 ou 200 pièces qui auraient suffi à compenser la déception de certains. J'en vois qui espèrent que la Ford Explorer bariolée soit un jour livrée dans une autre boite, mais je n'y crois pas vraiment. Ce set est à mon avis le dernier hommage à la saga Jurassic Park, à en juger par le choix du designer d'y intégrer quelques microscopiques vignettes faisant référence à des scènes plus ou moins cultes.
Ceci étant dit, le set se concentre sur deux autres éléments cultes de la saga : l'emblématique porte du parc et le T-rex qui est présent dans tous les films. Le set 75932 Jurassic Park Velociraptor Chase (2018) aurait pu laisser imaginer une gamme de plusieurs playsets en référence aux scènes les plus emblématiques, mais cette nouvelle boite prend une direction différente.
Comme c'était le cas pour le set LEGO Star Wars 75251 Darth Vader's Castle (2018), la porte du parc à assembler fait en effet office de construction à deux échelles. D'un côté, on obtient une imposante et très honnête reproduction de la chose, et de l'autre on découvre un ensemble de petits espaces permettant de mettre en scène les minifigs fournies. Mieux vaut ne pas tenir compte de l'espacement entre les traces de roues sur le chemin pour essayer d'imaginer la taille du véhicule qui aurait pu être fourni. En fait, mieux vaut tout simplement faire l'impasse sur les considérations d'échelle entre les différents éléments du set.
À la différence du Darth Vader's Castle qui intégrait un espace intérieur cohérent avec la façade de la construction, les scènes proposées ici n'ont rien à faire dans les montants de la porte. Ce choix "artistique" pour un produit destiné aux fans adultes est discutable, sachant que la grande majorité de ces fans exposeront la porte avec le côté extérieur en évidence et que les différentes cavités placées au dos n'ont pas vraiment de vocation ludique. On s'amusera cinq minutes des différents clins d'œil proposés mais il n'y a pas de quoi s'émerveiller devant ces micro "...décors détaillés en briques inspirés du film..."
Petit détail amusant, on retrouve le bras arraché de Ray Arnold dans le micro-compartiment qui met en scène Ellie Sattler... C'est d'ailleurs la seule référence explicitement "gore" du set.
Concernant "l'expérience de construction", si je devais choisir entre la porte et le T-rex, ma préférence irait pour le T-rex. L'assemblage de la porte du parc devient vite répétitif. La structure des deux montants en mode miroir est logiquement identique et il n'y a que les quelques petites scénettes pour apporter un peu de distraction durant le montage. Il reste le plaisir de voir la porte prendre de la hauteur pour atteindre une quarantaine de centimètres de haut. Le patchwork de végétation placé au pied de la porte est bienvenu, il contribue vraiement à la finition de l'ensemble.
Même si les deux battants de la porte peuvent être ouverts simplement en poussant sur chacun d'entre eux, un mécanisme rotatif est intégré dans dans la zone supérieure juste derrière le panneau du parc. C'est toujours ça de pris pour ouvrir la porte comme dans le film sans mettre ses gros doigts au milieu de la scène.
Durant le processus de construction, l'ensemble reste relativement fragile et difficile à déplacer. Ce n'est que lorsque les barres de renforts et le bandeau transversal supérieur sont installés que la rigidité devient suffisante pour déplacer la porte sans risque de démolir quelque chose au passage.
Comme d'habitude chez LEGO, les différents espaces "jouables" sont vraiment très exigus et y placer une minifig en situation suffit à remplir chacun des emplacements. Les clins d'œil aux différentes scènes sont évidents et certains d'entre eux ne font même que confirmer ce qu'il aurait été possible de faire dans des (play)sets plus conséquents.
Difficile également d'expliquer la présence des toilettes alors que la minifig de l'avocat Donald Gennaro n'est pas fournie... La vignette qui met en scène Dennis Nedry est de son côté un peu minimaliste, la scène culte en question au cours de laquelle le personnage s'enfuit en Jeep et rencontre un dilophosaure méritait sans doute mieux que la micro-coulée de boue avec la bombe de mousse à raser.
On n'échappe pas ici à l'habituelle planche de stickers qui contient l'enseigne du parc, les trois écrans du bureau de Ray Arnold et un gros autocollant dans le style de ceux des sets Ultimate Collector Series de la gamme LEGO Star Wars qui détaille ici quelques caractéristiques du T-rex.
Ce dernier sticker affublé du logo Jurassic World (apparemment un choix des ayant-droits de la licence pour des questions de cohérence de la gamme de produits dérivés) me semble un peu superflu et il n'est à mon avis présent que pour rendre artificiellement ce produit encore plus "collector". Ce sticker confirme aussi que le T-rex mesure 5.2 mètres de haut et que il n'est donc pas vraiment à l'échelle de la porte du parc, ni des minifigs.
Autre détail gênant : le Mot PARK est divisé en deux autocollants et l'espacement entre les lettres A et R est différent de celui des autres lettres du mot. Certains ne le remarqueront sans doute jamais, mais en ce qui me concerne, c'est décevant.
Ce T-rex à construire offre de son côté une expérience d'assemblage très intéressante, il faudrait être de mauvaise foi pour dire le contraire. Fallait-il absolument proposer une créature en briques au lieu de jeter un exemplaire de la figurine moulée habituelle dans la boite et par ricochet de réduire le prix du set de quelques dizaines d'euros ? Rien n'est moins sûr et on revient encore une fois à l'absence de la Ford Explorer qui aurait alors pu trouver sa place dans cette boite sans inflation du prix public.
Il n'en reste pas moins que tous ceux qui n'ont jamais fait l'expérience des différentes créatures à assembler habituellement disponibles dans la gamme Creator trouveront ici de quoi se faire plaisir.
On retiendra également la présence d'une grenouille dans les entrailles du T-rex, en référence au film où les trous dans le séquençage de l'ADN des dinos sont remplacés par différents éléments provenant d'autres animaux plus ou moins proches.
Ceux qui ne jurent que par le sacro-saint concept de jouet de construction préféreront peut-être ce T-rex en briques qui trônera fièrement sur la commode du salon à une figurine moulée. Ce T-rex qui ressemble de prime abord à un poulet de basse-cour avec ses pattes grises ne prend réellement forme que lorsque la tête de la créature est en place même si ma première réaction devant le modèle achevé a été de penser à Rex de Toy Story...
Je suis un peu déçu par le système de fixation des pattes. Le mécanisme de rotation est bien conçu mais les quatre pins noirs qui maintiennent le tout en place ont un peu tendance à se détacher de manière inopinée lors des différentes manipulations.
La queue est très bien conçue et elle est orientable dans différentes positions pour peaufiner la mise en scène du T-rex ou gagner de la place sur une étagère. Pas de risque de destruction accidentelle sur cet élément, les Ball Joints font correctement leur travail. Le designer a fait ses devoirs et l'équilibre du T-rex est assuré par la répartition du poids entre la tête, le corps et la queue.
Attention, les pattes ne sont pas articulées, elles restent en position fixe quelle que soit l'orientation du corps du T-rex. La construction est plutôt stable quelque que soit la position et la créature reste modulaire pour un rangement rapide, il suffit de décrocher les deux pattes, la tête et la queue. Le remontage ne prend que quelques secondes.
L'assortiment en minifigs est ici un peu décevant. On retrouve bien quelques personnages cultes de la saga, mais Alan Grant (Sam Neill), Ellie Sattler (Laura Dern) et Ian Malcolm (Jeff Goldblum) ont déjà eu droit à leurs minifigs : Grant et Sattler étaient livrés dans le set 75932 Jurassic Park Velociraptor Chase (2018) et Ian Malcom était disponible dans une variante livrée dans le pack de minifigs exclusif commercialisé / offert fin 2018 (réf. LEGO 5005255).
LEGO se contente de nous livrer le même chapeau pour Hammond et Grant. Pourtant dans le film, les deux accessoires se différencient par un bandeau de couleur à la base du chapeau de John Hammond.
Au rayon des autres détails techniques un peu décevants, je note la différence de teinte entre la tête et le torse de Ian Malcolm, ne vous fiez donc pas aux visuels officiels présentés il y a quelques jours qui sont des versions numériques ou des photos retouchées.
Il reste trois minifigs inédites : John Hammond (Richard Attenborough), John Raymond Arnold (Samuel L. Jackson) et Dennis Nedry (Wayne Knight). Si les deux premières sont assez fidèles aux personnages du film, la minifig de Dennis Nedry me semble complètement ratée. Comment, chez LEGO, on en est arrivé à la conclusion que Nedry et Arnold ont la même coupe de cheveux ?
Je ne suis pas non plus fan du retour de teinte blanche sur l'intérieur des jambes en bi-injection de Ray Arnold et de la zone non tampographiée tout en haut de l'élément des hanches qui maintient les jambes en place. Ce manque de finition gâche un peu le rendu global de cette minifig dont le design est pourtant très fidèle à la tenue de Samuel L. Jackson dans le film.
S'il faut aller encore plus loin dans le détail, je pense que le logo imprimé sur les torses de Nedry et d'Arnold n'est pas conforme à celui vu dans le film. Quitte à se donner la peine de tampographier un micro logo, autant le faire correctement et avec la bonne couleur de fond (jaune avec liseré rouge)...
Concernant la minifig de Dennis Nedry, elle dispose bien d'un visage alternatif maculé du venin projeté par le dipholosaure, elle porte bien le k-way jaune à capuche vu à l'écran, mais LEGO ne fournit malheureusement pas la Jeep Wrangler avec laquelle Nedry s'enfuit... Encore une occasion ratée de nous proposer un véhicule de quelques pièces qui aurait fait le bonheur des fans.
Il manque aussi Robert Muldoon (Bob Peck) dans cette boite. Dommage pour les fans qui espéraient réunir une large partie du casting.
Bref, tout n'est pas parfait dans ce très gros set de plus de 3000 pièces à 250 €, même s'il offre quelques bons moments de construction avec le T-rex dont l'apparence est un peu gâchée par les pattes grises. La porte du parc est réussie et, de face, elle fera son petit effet sur une étagère. Les micro-vignettes placées au dos n'amènent à mon avis pas grand chose au set et certaines sont trop incomplètes pour être vraiment efficaces.
Comme d'habitude, c'est vous qui voyez : À vous de décider sur ce pur produit d'exposition pour fans adultes qui mélange un peu tout et à différentes échelles mérite les honneurs de vos étagères. Même si j'ai pris beaucoup de plaisir à monter ce set, ce sera sans moi. J'aime beaucoup l'univers Jurassic Park / World mais ce produit dérivé me parait vraiment trop incomplet pour la place qu'il prend.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de poster un commentaire (évitez les "Je participe, je tente, etc..." soyez un peu plus constructifs) sur cet article avant le 30 juin 2019 prochain à 23h59. Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec moi, ce n'est pas éliminatoire.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
DenisB - Commentaire posté le 18/06/2019 à 21h35 |
LE SET 75936 JURASSIC PARK : T.REX RAMPAGE SUR LE SHOP LEGO >>
À quelques semaines de la disponibilité des premiers sets bénéficiant du concept LEGO Technic Control +, j'en profite pour vous présenter rapidement un produit que la plupart des amateurs de trains LEGO et des fans la gamme LEGO Technic connaissent déjà mais que ceux qui n'achètent qu'occasionnellement des produits motorisés découvriront peut-être pour la première fois. Je le précise car c'est important : le produit et l'application associée ont largement atteint leur maturité depuis leur lancement initial et vous ne ferez pas office de beta testeurs.
LEGO n'a rien inventé ou presque avec les ensembles Powered Up ou Control + : la brique intelligente SBrick Plus permet depuis plusieurs années déjà de prendre le contrôle de vos différents éléments Power Functions en utilisant une application dédiée sur smartphone ou tablette.
Cette brique communique avec vos moteurs et autres capteurs en Bluetooth avec une portée atteignant jusqu'à 50 mètres dans des conditions optimales. La version Plus de la SBrick, qui succède au modèle de base, peut en prime contrôler les capteurs de la gamme LEGO Education WeDo 1.0. Si c'est l'aspect éducatif qui vous intéresse, sachez que ce produit est compatible avec différents langages de programmation : Scratch, Apple Swift Playground ou encore Javascript.
Pour faire simple, ce produit vous permet donc à la fois de profiter de l'ensemble de vos éléments Power Functions dans des conditions similaires à celles proposées par le nouveau système Powered Up et de vous affranchir des limitations du concept Power Functions, notamment liées à l'utilisation de l'infrarouge avec les problèmes de portée et de connexion que nous avons tous déjà rencontré au moins une fois.
La Sbrick adopte d'ailleurs un format similaire (4x4 tenons) au récepteur infrarouge officiel LEGO et elle le remplacera donc aisément sur les modèles motorisés via différents éléments de la gamme Power Functions.
Elle pourra également être placée à l'intérieur du modèle, l'utilisation du protocole Bluetooth ne nécessitant pas de laisser un éventuel capteur visible par la télécommande. Les possibilités d'intégration sont donc quasiment illimitées, la SBrick étant 100% compatible avec les tenons et les pins officiels LEGO.
Vengit propose à la vente un lot de quatre boitiers vides dans des coloris variés qui vous permettront de peaufiner l'intégration de la SBrick dans vos différents modèles. Il suffit d'ouvrir soigneusement le boitier de départ, de retirer le circuit imprimé en faisant attention de ne pas abîmer les différentes séries de pins (et de ne pas perdre le petit élément en plastique transparent qui renvoie la lumière de la LED) et de remonter le tout dans le boitier de la couleur de de votre choix.
L'installation de base est très simple et prend quelques secondes : il suffit de connecter la SBrick à une source d'alimentation, ici une Battery Box rechargeable officielle, et de brancher ensuite sur les quatre connecteurs prévus les différents éléments, moteurs, LEDs et capteurs, que vous souhaitez utiliser. À ce stade, vous obtenez donc un circuit complet qui vous permet de motoriser et d'animer votre construction.
Attention, il vous faut impérativement disposer d'un câble d'extension Power Functions (réf. LEGO 8886 ou 8871) pour relier la SBrick au boitier à piles ou à la batterie rechargeable. C'est indiqué sur la boite du produit et ce câble n'est pas fourni.
Pour mettre le tout en mouvement, il vous faut ensuite disposer d'une interface de contrôle. En installant l'application officielle (iOS ou Android) sur votre smartphone qui se transforme alors en télécommande virtuelle, vous pouvez communiquer avec votre SBrick en Bluetooth. Pour les propriétaires de produits Apple qui auraient déjà investi dans une manette de jeu certifiée MFI (Made for Phone), vous pouvez également utiliser cette dernière pour contrôler votre SBrick. Avec un dongle Bluetooth BLED112, les possibilités de programmation s'ouvrent à la grande majorité des plateformes actuelles, incluant Linux, Windows, MacOS, Raspberry PI, etc...
L'application sur smartphone est très bien conçue, elle offre notamment un outil de test permettant de confirmer sur quel port est connecté un élément particulier. Cet outil se révélera très pratique si vous utilisez la totalité des quatre ports disponibles. L'application est intuitive, sa prise en main ne nécessite aucun diplôme particulier.
Il vous faut ensuite créer et activer un profil de contrôle qui vous permettra de mettre en marche les différents éléments connectés. Vengit fournit un outil plutôt bien pensé qui permet en quelques minutes de créer et personnaliser l'interface de votre télécommande virtuelle. Les possibilités de personnalisation sont infinies et vous pouvez au choix utiliser les différents éléments visuels déjà fournis ou importer vos propres boutons et illustrations.
En quelques clics, vous pouvez ajouter les différents boutons et curseurs qu'il faudra plus tard associer aux différents ports de la SBrick. Rien de très compliqué, il n'est pas nécessaire d'être ingénieur ou astronaute pour paramétrer la télécommande virtuelle. Vous pouvez ensuite choisir de garder votre précieux profil pour vous-même ou vous pouvez décider de le partager avec le reste de la communauté SBrick.
Les possibilités sont nombreuses, depuis l'ajout d'un simple joystick deux canaux jusqu'à la création de séquences enchaînées qui peuvent être lancées et répétées par l'appui sur un bouton en passant par le paramétrage de la détection de l'inclinaison du smartphone associée à des fonctions particulières.
L'application sur smartphone propose également une bibliothèque de profils déjà créés par d'autres fans pour différents modèles LEGO existants. Ces interfaces sont déjà pensées pour utiliser tous les éléments de motorisation des modèles concernés, il suffit d'associer les ports correspondants à chaque bouton ou curseur et vous pouvez passer à l'action en quelques minutes.
En pratique, la conversion d'un set existant initialement équipé du système Power Functions ne prendra que quelques minutes avant de pouvoir jouer à nouveau avec et la simplicité de l'ensemble du concept depuis la phase d'installation de la brique elle-même jusqu'au paramétrage de la télécommande virtuelle rend ce produit vraiment accessible à tous.
En cas de problème ou de difficulté lors du paramétrage de votre SBrick, sachez qu'il existe aussi une communauté très active autour de ce produit. Vous trouverez forcément de l'aide sur les forums officiels du fabricant où la plupart des problèmes rencontrés par les utilisateurs sont documentés et trouvent une solution.
Vous pourrez ainsi exploiter tout le potentiel du produit sans frustration et profiter encore longtemps de tous les éléments Power Functions accumulés au fil de vos achats de sets LEGO. Et c'est bien là à mon avis tout l'intérêt de ce produit : prolonger la durée de vie de vos éléments Power Functions tout en bénéficiant des quelques raffinements techniques et esthétiques réservés aux propriétaires de produits équipés en éléments du nouveau système Powered Up.
Il n'y a en effet pour l'instant aucune certitude quant à la capacité (et à la volonté) de LEGO de fournir un jour un adaptateur permettant d'utiliser les différents éléments de la gamme Power Functions avec le Samrt Hub Bluetooth du nouveau système Powered Up.
De son côté, le fabricant de la SBrick devrait proposer d'ici l'été 2019 un adaptateur encore en cours de développement qui permettra de prendre en charge les nouveaux moteurs et capteurs issus des gammes Boost / WeDo 2.0 / Powered Up, histoire de contribuer encore un peu plus à l'amortissement des 74.90 € à investir dans ce produit.
Note : Le produit présenté ici, fourni par Robot Advance, est comme d'habitude mis en jeu. Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de poster un commentaire (évitez les "Je participe, je tente, etc..." soyez un peu plus constructifs) sur cet article avant le 18 juin 2019 prochain à 23h59. Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d'accord avec moi, ce n'est pas éliminatoire.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
nonamefan - Commentaire posté le 13/06/2019 à 09h03 |
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- Desman : Joli produit... joli produit... 🤔🙄...
- Clements : mouais, sympa mais pas ce que je préfère. Et j'ai oublié si...
- Dandy : Intéressant.... clairement plus motivant que le serpent....
- Abyss : Celui là sera mien ! Et nouvelle pièce de type chaine si je...
- Bouh211 : Deux livrets ? Ce sont pourtant exactement les mêmes, non ?...
- emydwarf : Ca ira très bien avec les sets Nouvel an chinois qui sortent...
- Cici91 : Très beau mais..... certainement très cher pour le recevoir...
- Damien : Tous les membres insiders ont sans doute reçu le mail. J'ai...
- Curt88 : Merci pour le code, mais je rejoins l’avis général. Le seul...
- G.22 : Double GWP type nouvel an lunaire, celui-là et le serpent....
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