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On s'intéresse aujourd'hui rapidement au set LEGO Star Wars 75283 Armoured Assault Tank (AAT), une petite boite de 286 pièces vendue 39.99 €, avec les deux minifigs que beaucoup de fans de la série animée The Clone Wars attendaient accompagnées pour l'occasion de quelques pièces qui permettent d'assembler un AAT.
On ne va pas se mentir, l'AAT en version 2020 est passé à l'essoreuse et ceux qui ont dans leur collection la version du set 8018 Armoured Assault Tank (AAT) commercialisé en 2009 auront sans doute un peu de mal avec ce nouveau modèle beaucoup plus compact qui emprunte une partie de son design à la version de l'Episode I vue en 2015 dans le set 75080 AAT.
Il n'en reste pas moins que cette nouvelle interprétation de l'engin est plutôt bien conçue et qu'elle laisse suffisamment d'espace interne pour y installer les deux Battle Droids fournis. La tourelle pivote sur 180°, le canon principal et les armes latérales peuvent être orientés comme ça vous amuse et le designer à même intégré deux Spring Shooters sous l'engin. C'est jouable et cet AAT est suffisamment solide pour être manipulé par les plus jeunes.
Il n'y a que deux stickers dans cette boite, et il faudra se passer de quelques détails sur l'avant de l'engin comme les tubes lanceurs de missiles. Mais je crois que nous serons de toute façon tous d'accord pour en conclure que l'AAT n'est ici que pour servir de prétexte à nous vendre une nouvelle version d'Ahsoka Tano et nous fournir au passage un Clone Trooper de la 332ème. L'engin est d'ailleurs un peu hors sujet mais ceux qui n'en avaient pas feront d'une pierre deux coups.
Du coté des (vraies) minifigs livrées dans cette boite, il faudra donc se contenter d'Ahsoka et d'un "Ahsoka Clone Trooper", les deux Battle Droids n'étant que des figurines de remplissage sans grand intérêt. Pour 40 €, c'est maigre.
La dernière minifig en date d'Ahsoka "adulte" remonte à 2016 avec la version Fulcrum livrée dans le set 75158 Rebel Combat Frigate. La tenue de cette nouvelle minifig basée sur la septième saison de la série animée The Clone Wars est à peu près conforme à celle vue à l'écran, mais il lui manque les protections sur les avant-bras pour vraiment convaincre.
Les tampographies sont impeccables, la pièce utilisée pour la coiffe est celle déjà vue sur la tête de l'autre version adulte d'Ahsoka et sur celle de Shaak Ti, le visage n'affiche plus le regard trop cartoon vu sur les autres minifigs du personnage inspirées de la série The Clone Wars et cette minifig vous coûtera dans tous les cas moins cher que celle du set 75158 Rebel Combat Frigate qui se revend à l'unité aux alentours de 80 € sur le marché secondaire. Que demander de plus ?
L'Ahsoka Clone Trooper, un membre de la 332ème compagnie de la 501ème Légion commandée par Ahsoka lors du siège de Mandalore, réutilise la tête, le torse et les jambes des Clone Troopers livrés dans le set 75280 501st Legion Clone Troopers. C'est logique. Le casque est réussi, avec une tampographgie très fidèle à la version vue à l'écran. Deux exemplaires auraient été les bienvenus dans ce set, histoire d'avoir sous la main un début d'escouade.
Les deux Battle Droids livrés ici sont identiques, même si LEGO les présente séparément sur l'emballage probablement pour donner un peu de consistance au set, et ils étaient déjà dans les sets 75233 Droid Gunship et 75234 AT-AP Walker en 2019. La tampographie sur la tête et le torse en Olive Green sauvent les meubles et nous évitent d'obtenir les versions que nous avons tous déjà par poignées de douze dans nos tiroirs. Pour ceux qui se poseraient la question, les blasters en Pearl Dark Gray qui équipent les deux figurines sont disponibles chez LEGO depuis 2015.
Bref, il n'y pas lieu de philosopher longtemps sur cette petite boite au prix public un peu excessif qui mise tout sur les deux minifigs fournies. Ceux qui se sont refusés à acheter le set 75158 Rebel Combat Frigate (130.99 €) basé sur la série Star Wars Rebels et commercialisé en 2016 éviteront de refaire la même erreur s'ils veulent absolument une version adulte d'Ahsoka Tano sans devoir régaler plus tard les revendeurs sur le marché secondaire.
Les Army Builders qui ont investi dans une poignée de sets 75280 501st Legion Clone Troopers n'auront plus qu'à attendre que ce nouveau set finisse en promotion ou que le casque du Clone de la 332ème soit vendu au détail sur le marché secondaire pour se constituer une escouade complète.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 11 octobre 2020 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Florent88 - Commentaire posté le 01/10/2020 à 18h30 |
On reparle aujourd'hui rapidement du concept LEGO Art que LEGO nous vend comme "...une expérience de construction à la fois relaxante et enrichissante..." en s'intéressant au set 31199 Marvel Studios Iron Man (3167 pièces - 119.99 €).
Je ne vais pas vous refaire le pitch complet de ces produits qui, pris à l'unité, offrent trois (31199 Marvel Studios Iron Man et 31200 Star Wars The Sith) ou quatre (31197 Andy Warhol’s Marilyn Monroe et 31198 The Beatles) possibilités de construction selon les modèles et qui peuvent même finir en méga-fresque si vous en achetez trois exemplaires des versions Marvel et Star Wars. Ce qui m'intéresse ici, c'est le concept lui-même qui utilise la brique LEGO au service d'un exercice qui ne me semble pas être à première vue d'une créativité époustouflante.
Tout est prémâché pour essayer de faire en sorte que celui qui se lance ne se lasse pas trop rapidement : Chaque tableau est divisé en neuf sous-sections à assembler séparément avant de les rassembler pour former la fresque finale et les pièces sont déjà triées par couleur. Le livret d'instructions achève de faciliter la tâche des clients en quête de relaxation en les guidant grâce à une identification numérique de chaque coloris concerné. Difficile de faire plus simple, l'étape suivante consistait à livrer le produit déjà assemblé.
Il faut donc ensuite passer quelques heures à aligner des pièces, regrouper les 9 plaques entre elles via des pins et construire le cadre qui vient entourer et rigidifier la mosaïque. On fixe les deux crochets qui permettent de plaquer la chose au mur et c'est réglé. Si vous n'avez pas l'intention de fixer Iron Man au mur, il faudra vous débrouiller : LEGO ne fournit ni pied ni chevalet à construire pour par exemple poser le tableau sur un meuble.
La face avant du tableau reste en "tenons apparents", pas de vitre ou d'insert en plexiglass pour isoler le modèle de la poussière qui ne manquera pas de se glisser entre les pièces au fil du temps. Je ne suis pas inquiet, un fabricant tiers se chargera sans doute tôt ou tard de proposer une solution complète d'encadrement pour ces produits.
J'ai vu beaucoup de monde s'extasier à propos de l'emballage plutôt réussi de ces produits, mais je pense qu'il est surtout important de préciser que le tableau fini ne rentre pas dans la boite. C'est dommage, exit la possibilité de ranger soigneusement le produit assemblé dans cette grande boite plate qui en reprend pourtant à peu près le format.
LEGO indique qu'il faut aussi installer neuf pièces blanches au centre du dos de chacun des modules qui composent le tableau, je les ai volontairement excentrées pour ne pas forcer sur le centre de l'excroissance prévue pour ça qui me semblait offrir plus de résistance que de coutume. J'ai compris plus tard pourquoi j'avais du mal à les insérer.
Si vous regardez bien les photos ci-dessous, vous constaterez en effet que certains des neufs modules ont un défaut avec une partie centrale légèrement enfoncée. Ce défaut de conception se répercute au dos de chaque cadre avec des tenons qui semblent mal espacés. Six des neuf exemplaires fournis dans le set que j'ai reçu sont concernés et on retrouve l'effet de vague sur la mosaïque finale en la regardant de profil. Vu le positionnement haut de gamme du produit, je m'attendais à ne pas avoir à constater de défaut majeur sur les pièces fournies et je me retrouve à devoir contacter le service client à ce sujet... Dans mon cas, ce n'est pas si grave, mais le cadre moyen pressé de se relaxer aura certainement mieux à faire.
Impossible de s'émerveiller ici sur une technique particulière ou sur une étape précise, ce n'est vraiment qu'à la fin de l'assemblage et vu de (très) loin que le modèle complet se révèle et qu'on en oublie que c'est juste du pixel-art un peu grossier à la sauce LEGO. Certains en concluront que la fin justifie les moyens et que le processus d'assemblage n'est que secondaire, l'objectif se résumant à obtenir une mosaïque à exposer fièrement dans son salon ou son bureau. Ils ont sans doute raison.
Comme je le disais plus haut, ces tableaux sont des produits 3-en-1. Il est en effet possible de choisir dès le départ un des trois artworks proposés par LEGO, et vous pourrez même démonter le tout plus tard pour changer de visuel, l'inventaire fourni dans chacune des boites le permet.
Pour avoir entièrement démonté l'exemplaire fourni par LEGO, c'est une étape laborieuse même avec l'aide du nouveau séparateur sous stéroïdes fourni qui permet d'enlever quatre pièces à la fois au lieu de deux. Et si vous voulez vous lancer dans l'assemblage d'un second visuel, il vous faudra au moins a préalable retrier plusieurs milliers de pièces dont les coloris sont très proches.
LEGO a bien tenté d'enrober le tout dans un contexte un peu lounge en proposant aux utilisateurs d'écouter une piste audio dédiée durant la phase d'assemblage. L'idée d'accompagner l'utilisateur sans trop le distraire visuellement est en théorie intéressante, mais j'ai tenu cinq minutes avant de lâcher prise et de réaliser que je devais rester concentré sur le montage sans essayer de comprendre ce que racontent les différents intervenants.
La bande sonore prévue pour ce set est en effet un simple podcast d'une heure et demie disponible uniquement en anglais et à la qualité d'enregistrement très moyenne avec des gens qui discutent et rigolent, vous pouvez en écouter un extrait à cette adresse pour vous faire une idée du contenu. LEGO n'aura donc pas jugé utile de nous proposer la totalité de l'expérience en français alors qu'il suffisait d'inviter trois ou quatre types francophones à discuter d'Iron Man pour au moins fournir un contenu localisé. C'est mesquin, mais je pense que vous ne ratez pas grand chose.
Chacun aura un avis sur la pertinence du concept, et ce que j'en retiens à titre personnel au bout de trois heures d'assemblage divisées en quatre sessions, c'est qu'on s'ennuie un peu. Il faut aussi rester attentif pour ne pas confondre quelques teintes entre elles, mais une fois qu'on a visuellement associé la couleur présente dans les pages du livret avec la teinte correspondante, le travail à la chaîne se déroule sans accroc. Si vous voulez un peu plus vous simplifier la tâche et vous débarrasser encore plus rapidement de la phase de montage, vous pouvez numéroter les gobelets contenant chaque teinte une bonne fois pour toutes en respectant le tableau fourni par LEGO.
Bravo à ceux qui se résoudront à dépenser trois fois 120 € pour s'offrir la méga-fresque qu'il est possible d'assembler avec le contenu des versions Marvel et Star Wars en ayant au préalable téléchargé les indispensables instructions au format PDF.
Vous avez bien lu, LEGO ne propose pas de version papier de ces instructions, alors qu'il ne s'agissait pourtant que d'une grosse trentaine de pages supplémentaires à ajouter dans le livret de base... Il n'y a pas de petites économies. J'ai aussi une pensée pour les collectionneurs les plus exigeants qui voudront pouvoir assembler simultanément les trois modèles et la méga-fresque pour les versions Marvel et Star Wars, avec une facture finale qui grimpe à près de 720 €. Ceux qui se contenteront des quatre Beatles ou des quatre variantes du célèbre tableau d'Andy Warhol s'en tireront pour un peu moins de 480 €.
Bref, même si le résultat final est esthétiquement acceptable vu d'assez loin, je pense que je ne suis définitivement pas dans la cible visée par LEGO avec ce type de produit lifestyle à assembler soi-même. Je me suis passablement ennuyé et même un peu énervé et le rendu obtenu ne me semble pas d'une originalité suffisante pour que je dépense 120 € dans au moins un des modèles proposés. Quelques posters sur papier glacé feront l'affaire pour beaucoup moins cher.
La polyvalence théorique de chacun des sets me semble également très surfaite dès qu'on y rajoute la laborieuse mais inévitable phase de démontage et de tri et les défauts techniques rencontrés sur l'exemplaire de test ont achevé de me convaincre de faire l'impasse. Ce sera donc sans moi.
Vous avez maintenant mon avis sur ce produit et si vous avez déjà craqué pour un ou plusieurs exemplaires de ces mosaïques, n'hésitez pas à partager le vôtre dans les commentaires. Le concept est suffisamment différent de ce que les fans de LEGO achètent habituellement pour que les avis soient très partagés.
LEGO semble de son côté avoir imaginé que le concept trouve rapidement son public et d'autres produits du même type seront commercialisés avec au moins deux références prévues pour 2021 : le set 31201 Hogwarts Crests qui devrait permettre d'assembler les blasons des quatre écoles de Poudlard et la référence 31202 Mickey & Minnie Mouse.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 10 octobre 2020 prochain à 23h59. Les frames défectueuses seront remplacées.
Je le précise à toutes fins utiles même s'il me semble que ça tombe sous le sens, ne pas être d'accord avec moi ne réduit pas vos chances de gagner.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
jeyro77 - Commentaire posté le 23/09/2020 à 10h36 |
Comme promis, on fait rapidement le tour du set LEGO 10275 Elf Club House (1197 pièces - 94.99 €), le produit festif qui rejoint cette année l'univers du Winter Village.
Ceux qui sont habitués à investir chaque année dans ces jolies constructions aux toits enneigés et à la décoration un peu chargée seront ici en terrain connu. Cette nouvelle bâtisse, qui sert manifestement d'habitation aux elfes lorsqu'ils ne sont pas de service dans l'atelier du Père Noël, est remplie de mobilier, d'accessoires et de détails décoratifs qui expliquent la présence de près de 1200 pièces dans ce petit set.
L'assemblage est divertissant avec de nombreuses techniques qui viennent rythmer les incontournables séquences d'empilage de briques et de plaques pour la construction des murs et du toit du pavillon. Parmi les différents jouets à assembler, on retrouve un bateau pirate et un piano qui font manifestement référence aux sets LEGO Creator 31109 Pirate Ship et Ideas 21323 Grand Piano commercialisés cette année. On obtient également (encore) un sapin décoré à la conception différente de ceux déjà livrés dans les différents sets de la gamme Winter Village. C'est devenu un gimmick qui ne facilite pas la création d'une forêt de conifères au sein des dioramas, chaque designer y va de sa version.
Le designer Chris McVeigh à l'œuvre cette année n'oublie pas au passage de faire un clin d'œil appuyé à son passé de MOCeur avec un ordinateur à assembler qui fait référence à ses nombreuses créations sur le thème de l'informatique. Ce sera juste un détail de plus pour de nombreux fans, mais je trouve ce mini-modèle vraiment très réussi.
Deux "grosses" fonctionnalités sont disponibles ici : Le mécanisme qui permet de faire basculer les lits superposés installés à l'étage en tournant le bouton déguisé en horloge et le distributeur de gaufres intégré à la cheminée avec un plateau basculant pour récupérer la friandise évacuée par la machine. On ne va pas se plaindre de pouvoir s'amuser un peu avec ce set, c'est à mon avis toujours une bonne nouvelle lorsque les designers font l'effort de nous proposer des assemblages qui offrent une certaine interactivité, même anecdotique.
Comme pour beaucoup d'autres constructions sur le même thème, cette demi-maison est donc avant tout un playset, avec son côté ouvert qui permet de profiter des différentes pièces et de leurs aménagements. On pourrait débattre de l'intérêt de nous fournir une demi-construction alors que le modèle est plutôt destiné à trôner au milieu d'un village hivernal ressorti des cartons à l'occasion des fêtes de fin d'année, mais je trouve que la maison reste ici suffisamment "fermée" sur trois côtés pour pouvoir être exposée sous certains angles.
La brique lumineuse fournie à installer sous le toit ne fait pas de miracle. Elle éclaire mollement la chambre des elfes, et uniquement si vous maintenez le doigt sur le bouton déporté. On ne le répètera jamais assez, il serait temps que LEGO propose une brique lumineuse avec un bouton marche / arrêt qui permettrait des mises en scène plus abouties.
J'espère également que le projet de kits d'éclairage "officiels" LEGO Night Mode vaguement testé en début d'année aboutira rapidement à quelque chose de concret. Le fabricant est à la traîne sur ce sujet alors que de nombreuses marques tierces proposent depuis déjà longtemps des solutions d'éclairage à intégrer dans les constructions et les deux fausses guirlandes lumineuses placées sur les bords du toit de ce clubhouse auraient vraiment mérité d'être fonctionnelles.
Le renne aux bois souples non détachables est basé sur le même moule que celui fourni en version Patronus dans le set LEGO Harry Potter 75945 Expecto Patronum (2019). La figurine est très réussie, j'aurais d'ailleurs volontiers échangé un des quatre elfes contre un second exemplaire du cervidé. Espérons que LEGO nous propose l'année prochaine un traîneau du Père Noël tiré par quatre de ces jolies figurines, celles du set 10245 Winter Village Santa's Workshop (2014) composées de briques prennent un vrai coup de vieux.
Les quatre minifigs sont toutes habillées du même torse, coiffées du même chapeau avec oreilles intégrées et seules deux d'entre elles disposent d'expressions faciales alternatives. Pas de personnage à la tenue légèrement différente identifié par exemple comme le chef d'équipe, c'est dommage.
Il n'y a que cinq stickers à coller dans cette boite dont un portrait des quatre elfes avec leur employeur, deux panneaux de direction dont un qui renvoie vers l'atelier, un calendrier et l'écran de l'ordinateur. C'est plus que les trois autocollants de la Gingerbread House mais ça reste raisonnable. Je note quelques différences de teinte sur les briques en Sand Green qui constituent les murs du premier étage. Le problème n'est donc toujours pas résolu, il faudra faire avec.
Pour résumer, cette maison des elfes est vraiment dans le thème, elle est plaisante à assembler, elle participe au contexte global en s'associant à l'atelier du Père Noël et elle peut même être transformée en simple chalet de montagne en retirant les quelques attributs festifs visibles sur la façade.
La comparaison avec la construction du set 10267 Winter Village Gingerbread House (1477 pièces), qui avait placé la barre très haut, n'est pas à l'avantage de ce nouveau bâtiment moins spacieux mais vendu au même prix. Le set proposé l'année dernière et toujours disponible sur la boutique officielle ne nous permet toutefois d'obtenir que deux personnages en pain d'épices, contre quatre minifigs et un renne moulé cette année.
Si vous êtes de ceux qui aiment ressortir leurs sets de l'univers Winter Village en fin d'année, je pense que cette nouvelle référence ne vous décevra pas avec un produit original et bien fini qui s'intégrera parfaitement au reste de la collection. 94.99 €, c'est comme souvent un peu cher pour une petite construction d'une vingtaine de centimètre de haut, mais c'est le prix à payer pour compléter sans attendre un Winter Village qui s'étend un peu plus chaque année et ne pas devoir remplir les poches des revendeurs sur le marché secondaire lorsqu'il sera trop tard.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 4 octobre 2020 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Pandalex - Commentaire posté le 25/09/2020 à 14h15 |
On fait aujourd'hui très rapidement le tour du set LEGO Star Wars 75281 Anakin's Jedi Interceptor (248 pièces), un remake du set 75038 Jedi Interceptor commercialisé en 2014 qui aura au moins le mérite de permettre à tous ceux qui sont arrivés dans le hobby après le retrait de la référence concernée du catalogue LEGO de s'offrir ce petit vaisseau à un tarif relativement raisonnable.
On retiendra les quelques modifications apportées à cette nouvelle interprétation du vaisseau, notamment au niveau des deux canons placés à l'intérieur des ailes qui profitent d'une finition plus aboutie. Le poste de pilotage gagne aussi en confort avec un appui-tête mais il faut toujours faire l'impasse sur un éventuel support de présentation qui aurait permis d'exposer le vaisseau avec ses ailerons déployés.
On notera aussi que la solution utilisée pour incliner les ailes sur cette nouvelles version est différente de celle proposée en 2014 : les plaques sont remplacées par deux Hinges indépendants avec pins intégrés. L'effet produit est le même et la solidité du modèle ne souffre pas de cette modification. Deux Spring-Shooters sont intégrés sous la carlingue, ils se font discrets et peuvent éventuellement être retirés si leur présence vous dérange.
La verrière est une nouvelle référence à la tampographie légèrement différente de l'élément vu en 2014 dans le set 75038 Jedi Interceptor puis en 2016 dans le set 75135 Obi-Wan's Jedi Interceptor. Deux petits détails disparaissent à l'avant, mais pour le reste la pièce est identique, point d'injection placé en plein milieu compris. Le dish placé sur la face avant du poste de pilotage est une pièce disponible depuis 2005 chez LEGO.
Les designers LEGO ne s'en cachent pas, ils essaient de proposer des rééditions dont certains détails sont modifiés ou améliorés pour ne pas se contenter de ressortir le même produit à l'identique. C'est donc le cas ici avec quelques évolutions qui, si elles ne suffiront sans doute pas pour faire de cette nouvelle boite une version radicalement différente de la précédente, convaincront les collectionneurs les plus exigeants qu'il s'agit pourtant d'une variante incontournable.
Le vaisseau est assemblé en quelques minutes, on colle les huit stickers et on passe à autre chose. On notera que la mesquinerie est ici poussée à son paroxysme avec un sticker représentant le logo de la République Galactique à coller sur la Tile 1x1 ronde alors que cette même pièce était tampographiée sur la version de 2014. En bonus, la découpe de cet autocollant n'est même pas correctement centrée et le résultat est un peu décevant.
Les deux minifigs fournies dans cette boite ne sont pas inédites ou exclusives, elles réutilisent des pièces déjà vues dans d'autre sets : le torse et les jambes d'Anakin sont les éléments livrés en 2020 dans le set 75269 Duel on Mustafar, les jambes et la tête datant même de 2018 et livrées alors dans le set 75214 Anakin's Jedi Starfighter.
La figurine de R2-D2 utilise ici le dôme réactualisé en 2020 qui est aussi présent dans les sets 75270 Obi_Wan's Hut et 75273 Poe Dameron's X-wing Fighter. Sur la version du set que j'ai reçu, la tampographie du dôme est d'ailleurs légèrement de travers. Le corps du droïde est celui commercialisé depuis 2014.
Bref, Il n'y a pas de quoi philosopher longtemps sur ce produit : Si vous avez la version précédente, cette nouvelle boite ne devrait logiquement pas vous sembler indispensable et vous avez économisé 30 €. Sinon, vous pouvez déjà trouver ce set à moins de 23 euros chez Amazon en Allemagne et c'est toujours moins cher que la cinquantaine d'euros demandés par les revendeurs sur le marché secondaire pour la version de 2014.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 2 octobre 2020 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Mika - Commentaire posté le 23/09/2020 à 16h41 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au contenu du set LEGO Star Wars 75290 Mos Eisley Cantina (3187 pièces - 349.99 €), le second set à être officiellement estampillé de la mention "Master Builder Series" après la référence 75222 Betrayal at Cloud City commercialisée en 2018. Pour faire simple, il s'agit donc ici plus d'un playset de luxe que d'un pur produit d'exposition.
Ce n'est pas la première version de la Cantina de Mos Eisley commercialisée par LEGO : trois sets plus ou moins étoffés ont été vus au catalogue du fabricant depuis 2004 et le lancement de la référence 4501 Mos Eisley Cantina, suivi en 2014 du set 75052 Mos Eisley Cantina puis en 2018 du set 75205 Mos Eisley Cantina. C'est en revanche la première fois que LEGO se décide à prendre le sujet un peu plus au sérieux et à essayer de le traiter de manière plus exhaustive.
Les mauvaises langues trouveront que cette reproduction de la Cantina est à peu de choses près le résultat de l'assemblage de trois ou quatre exemplaires du playset beaucoup plus sommaire vu dans le set 75052 Mos Eisley Cantina commercialisé en 2014. Et ils n'auront pas totalement tort : on y retrouve les mêmes techniques d'assemblage jusque dans certains détails. Ne cherchez pas ici de prouesses en matière de design, le set est sur cet aspect du niveau des jouets habituels de la gamme LEGO Star Wars, le gigantisme et la modularité en plus.
On se rend rapidement compte que l'intitulé "Master Builder Series" ne concerne finalement que la quantité d'éléments à assembler et le set n'a pas grand chose à offrir en matière de complexité de construction. On alterne entre de longues séquences d'empilage de briques beiges et quelques phases plus divertissantes au cours desquelles on s'attaque aux meubles, aux deux véhicules fournis et aux accessoires. C'est le sujet du set qui veut ça, difficile d'en vouloir à LEGO.
Difficile également de parler de possibilités ludiques avec cette boite, je ne vois personne passer même quelques minutes à "jouer" avec cette Cantina. On peut donc considérer que la possibilité de la présenter en position ouverte ou de retirer les éléments de toit sont des options exclusivement au service de l'exposition du produit. Il manque d'ailleurs de quoi éviter de se retrouver avec une Cantina dont le sol autour du comptoir sera celui de l'étagère ou du meuble sur lequel elle est exposée, si vous faites le choix de la laisser en position semi-ouverte ou complètement dépliée.
Quelques plaques supplémentaires auraient sans doute permis de ne pas "casser l'ambiance" avec un intérieur mieux fini. Quitte à conserver le principe utilisé ici, les designers auraient aussi pu déporter la frange de tenons visible au pied des alcôves autour du comptoir pour avoir la possibilité de laisser plusieurs personnages enfichés près de cet élément central même en position ouverte. Prévoyez un peu plus d'un mètre de long si vous envisagez d'exposer la Cantina et la boutique des Jawas en position ouverte.
Plus qu'un produit qui aurait vocation à permettre de "rejouer" certaines scènes du premier épisode de la saga, cette Cantina est donc un diorama statique qui met à profit les possibilités offertes par le concept LEGO pour proposer au moins un clin d'œil relatif à l'affrontement entre Han Solo et Greedo. Le petit mécanisme placé sous chacun des sièges de l'alcôve permet de faire basculer au choix l'un ou l'autre des personnages en premier, je ne vous fais pas un dessin. La référence est là, elle fera plaisir aux fans et c'est toujours mieux que rien. Le reste du set n'a pas grand chose à offrir en matière de jouabilité, à part la possibilité de positionner les 21 personnages comme bon vous semble et d'ouvrir quelques portes.
La solution imaginée par le designer pour permettre un accès relativement aisé au cœur du playset lorsque la Cantina est refermée est intéressante. Les alcôves sont recouvertes de modules de toit indépendants et le comptoir reste visible à travers la structure ajourée qu'on vient simplement poser sur la construction.
Certains auraient sans doute préféré pouvoir fermer totalement le bâtiment pour obtenir une construction vraiment "complète", mais je pense que la solution utilisée reste un bon compromis. L'extérieur de la Cantina est soigné, le set est aussi pensé pour être éventuellement exposé fermé et rien n'a été oublié. L'enclos du Dewback avec son abreuvoir et son anneau est là, l'autre façade du bâtiment est agrémentée de quelques accessoires décoratifs et les deux évaporateurs donnent un peu de volume au diorama.
LEGO aurait aussi pu se contenter de nous vendre uniquement le bâtiment principal, mais les designers ont eu la bonne idée d'essayer de le mettre dans un contexte plus global en ajoutant quelques éléments piochés dans les rues de Mos Eisley : deux engins, une petite construction supplémentaire et quelques évaporateurs. à 350 €, il ne fallait pas s'attendre à un village entier et ce qu'on obtient ici est déjà un bon début.
LEGO sait très bien que beaucoup de ceux qui feront l'acquisition de cette boite sont des habitués de la gamme LEGO Star Wars et disposent déjà d'au moins un Landspeeder de Luke, de quelques Jawas et de Sandtroopers à faire patrouiller dans les rues de ce nouveau diorama. Il n'y avait donc à mon avis pas lieu d'essayer d'être encore plus exhaustif au risque de gonfler le prix public du produit et de le rendre encore moins accessible.
Une version de la capsule Ubrikkian 9000 Z001 était déjà livrée en 2018 dans le set 75205 Mos Eisley Cantina. Celle fournie ici est une variante elle aussi habillée de nombreux stickers. L'autre speeder fourni dans cette boite est un peu plus intéressant, il s'agit d'un V-35 Courier Landspeeder inédit chez LEGO et vu brièvement pour la première fois à l'écran aux abords de la Cantina. L'engin ne méritait sans doute pas d'apparaître dans un set au contenu limité et au tarif plus modeste, mais sa présence ici contribue vraiment à mettre le bâtiment principal dans le contexte vu à l'écran.
La boutique des Jawas aurait presque pu être commercialisée seule, elle est suffisamment détaillée et fonctionnelle pour offrir un peu de jouabilité et son niveau de finition est raccord avec le reste du set. elle peut être clipsée au bâtiment principal ou exposée séparément, c'est vous qui voyez.
On n'échappe pas à la traditionnelle planche de stickers, mais le nombre d'autocollants à poser est plutôt raisonnable sachant que seulement cinq d'entre eux concernent la Cantina elle-même. L'intitulé "Master Builder Series" ne nous permet donc pas d'échapper à ces éléments "périssables" qui n'ont pourtant rien à faire sur un pur produit d'exposition. Les pièces tampographiées se font rares dans cette boite, mais on retiendra surtout la présence de trois jolies caisses grises tampographiées de la mention "CARGO" en Aurebesh (voir plus bas).
La dotation en minifigs est intéressante même si elle se contente de réutiliser de nombreuses figurines déjà vues notamment dans les autres boites qui traitent du même sujet. L'ajout de quelques figurants et autres personnages dont la brève présence à l'écran ne les rendaient pas forcément prioritaires dans les playsets habituels devraient toutefois suffire à motiver les fans pour passer à la caisse.
Dans l'univers Star Wars plus qu'ailleurs, on sait que le moindre personnage a tendance à devenir "culte" au fil des années même si il n'apparaît que quelques secondes à l'écran et qu'on ne sait en définitive pas grand chose à son sujet. LEGO ne s'y trompe pas et le fan service atteint ici des sommets : Ponda Baba (avec ses deux bras), Cornelius Evazan, Labria, Hrchek Kal Fas, Momaw Nadon, Kabe et Garindan viennent donc donner du piment au set et aiguiser l'appétit des collectionneurs les plus complétistes.
Le reste du casting est déjà présent au catalogue LEGO, soit à l'identique soit dans une variante suffisamment proche. Même le moule utilisé ici pour le Dewback est celui déjà utilisé pour la créature vue dans le set 75052 Mos Eisley Cantina commercialisé en 2014, et il faut simplement se contenter d'une nouvelle tampographie plus contrastée qui en fait donc une créature "exclusive". L'attirail amovible et remplaçable par des éléments neutres qui permet au Sandtrooper de chevaucher la créature est identique à celui de 2014.
Seuls trois des sept membres du groupe Figrin D'an and the Modal Nodes sont présents dans le set, mais on ne peut pas reprocher à LEGO d'avoir sacrifié une partie de la troupe pour intégrer d'autres personnages dans la boite. Vous pourrez toujours ajouter les trois membres du groupe présents dans le set 75052 Mos Eisley Cantina et jouer au jeu des sept différences, les figurines sont identiques même si celles fournies dans cette nouvelle boite sont composées de pièces portant de nouvelles références.
Wuher et Greedo étaient déjà livrés à l'identique dans le set 75205 Mos Eisley Cantina. Obi-Wan Kenobi était en 2019 dans le set 75246 Death Star Cannon. Les deux Sandtroopers sont identiques à l'exception de leurs épaulières respectives et on trouvait déjà cette figurine dans le set Microfighters 75228 Escape Pod vs. Dewback (2019), Luke est au catalogue LEGO depuis 2016 dans cette version et Han Solo est déjà dans le set 75159 Death Star depuis 2016.
Momaw Nadon (Hammerhead) réutilise le moule de la tête du Jedi Master Ithorien déjà vu en 2014 dans le set 75051 Jedi Scout Fighter basé sur la série animée The Yoda Chronicles. On retiendra également la solution utilisée pour reproduire le masque de Garindan avec son filtre à air nasal. C'est vraiment très réussi et ça reste dans l'esprit LEGO.
Je suis moins convaincu par les figurines de Labria aka Kardue'sai'Malloc et Kabe avec leurs accessoires à enficher sur une tête classique. Un élément moulé aurait été plus adapté pour ne pas créer la surcouche de plastique visible sur la tête de ces deux figurines qui du coup ont un peu de mal à s'intégrer visuellement aux côtés des très réussis Ponda Baba et Hrchek Kal Fas.
LEGO aura fait de son mieux pour la figurine de Cornelius Evazan, symbolisant la difformité du visage du personnage à grands renforts de traits simplement tampographiés sur une tête classique. Le compromis me semble acceptable, il n'y avait pas forcément besoin d'en faire des tonnes et on reconnaît le personnage au premier coup d'œil. Sur le plan technique, Han Solo et Cornelius Evazan souffrent du problème habituel de teinte lorsqu'il s'agit de tampographier du blanc ou du beige sur un fond plus sombre.
Plus qu'une interprétation inédite et rafraîchissante de la Cantina de Chalmun, que LEGO nous a déjà proposé jusqu'ici via des playsets beaucoup moins ambitieux, je pense qu'on obtient enfin ce qui se rapproche le plus d'une version qui s'affranchit des contraintes habituelles liées au positionnement tarifaire des produits LEGO et se permet donc quelques raffinements.
Cette Cantina "complète" renvoie les quelques morceaux de murs habituels au rayon de simples jouets pour enfants et permet enfin de traiter le sujet plus sérieusement et de manière définitive. Même si l'endroit n'apparaît que quelques minutes à l'écran, il fallait que LEGO se décide un jour à pousser le fan service jusqu'au bout au lieu de se contenter d'aborder mollement la question. C'est fait et plutôt bien fait mais il faudra débourser la modique somme de 350 € pour s'offrir ce playset de luxe, le casting principal des scènes se déroulant autour et à l'intérieur de la Cantina et une grosse poignée de figurants inédits.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 30 septembre 2020 prochain à 23h59.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Jeremy - Commentaire posté le 16/09/2020 à 23h37 |
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- moumouil : plus ça va et plus je me dis que minifigure madness n'est pa...
- Sébastien : Pays-Bas, France,.. mais pas pour la Belgique, alors qu'il y...
- Luzgard : Simple et efficace, ça rend bien !...
- Luzgard : A défaut d'avoir une vraie platine vinyle, autant en avoir u...
- Luzgard : Magnifique 😍 En exposition, ce serait parfait !...
- stephane : J’ai plus souvent des pièces en trop que des pièces manquant...
- fdsm : Et parfois des pièces en plus, ou les mauvaises références !...
- LaSopheDC : Un petit set mignon, qui, s'il ne casse pas des briques (lol...
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