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On fait aujourd'hui rapidement le tour de l'autre nouveauté de la gamme LEGO Technic attendue dès le 1er août prochain : le set 42128 Heavy-duty Tow Truck qui, comme l'intitulé du produit l'indique, permet d'assembler une grosse dépanneuse de 2017 pièces et qui devrait faire plaisir aux fans des émissions du type "La route de l'enfer" diffusées sur RMC Découverte ou Discovery Channel.
On sera fan ou pas de l'apparence générale de la dépanneuse, mais je trouve qu'elle a franchement fière allure avec ses couleurs chatoyantes et ses stickers au graphisme très original. Le véhicule, qui prend enfin le relais de la version plus austère du set 8285 Tow Truck datant de 2006 mesure 58 cm de long, 22 cm de haut et 14 cm de large avec les stabilisateurs rangés. L'emprise au sol passe à 27 cm lorsque les deux stabilisateurs latéraux sont déployés.
On pourrait chipoter sur le fait que la grue dépasse franchement de la cabine avec à l'arrivée une impression de différence d'échelle entre les deux éléments, surtout de profil. Pour ceux qui se poseraient la question, le Mack Anthem du set 42078 est pratiquement à l'échelle de cette dépanneuse : il mesure 15 cm de large et 22 cm de haut.
Vous le savez déjà, cette dépanneuse propose un ensemble de fonctions combinant des solutions mécaniques et pneumatiques. Du côté des fonctionnalités purement mécaniques, c'est sans surprise, on mouline fort pour déployer les deux stabilisateurs latéraux équipés de vérins linéaires synchronisés avec ceux placés à l'arrière du véhicule, pour descendre le troisième essieu arrière, pour faire tourner la grue et pour remonter les câbles des deux treuils indépendants.
La fonctionnalité qui est à mon avis la plus agaçante est celle qui met la grue en rotation, c'est long et laborieux avec en prime un engrenage fixé sur un support qui a parfois une fâcheuse tendance à se désemboiter si on force un peu lorsque que le plateau de la grue arrive en butée. Les habitués de la gamme LEGO Technic savent bien que mouliner fait partie du contrat et il ne devraient donc pas en vouloir à LEGO de devoir regarder un stabilisateur descendre très lentement pour finir par toucher le sol après avoir longuement tourné la molette dédiée.
Si vous avez envie de voir l'ensemble des fonctionnalités du produit à l'œuvre, je vous ai résumé tout ça dans la séquence vidéo ci-dessous :
Trois fonctionnalités pneumatiques sont proposées et leur utilisation est largement plus dynamique et enthousiasmante : il est possible de monter et descendre le bras de la grue, étendre et ramener la flèche et descendre ou remonter la fourche de remorquage arrière. Pour profiter de ces raffinements techniques, il faut pomper. Beaucoup. LEGO n'a pas jugé utile d'intégrer un réservoir d'air au produit et chaque mise en mouvement s'accompagne donc d'une séquence de pompage intensif. Ce n'est pas très grave, mais il aurait été appréciable de pouvoir relever le bras de la grue dans un premier temps puis d'enchaîner directement par l'extension de la flèche sans devoir repasser par la case pompage. Ici, il est impossible de combiner les fonctionnalités en espérant lâcher la pompe. Avant de lancer l'extension de la flèche, il sera indispensable de prévoir une longueur de câble suffisante pour que le bras ne soit pas retenu dans son mouvement, les deux loquets de sécurité des treuils empêchant le déroulement du câble.
La pompe n'est d'ailleurs pas inédite, c'est celle déjà vue dans le set 42053 Volvo EW160E commercialisé en 2016. Elle est placée juste derrière la cabine, elle sait se faire relativement discrète et reste malgré tout facilement accessible. Le circuit de tubes pneumatiques est plus ou moins bien intégré au véhicule avec quelques portions qui restent franchement apparentes et qui auraient à mon avis pu être un peu mieux organisées.
Il faudra mesurer les tubes fournis dès le début de l'assemblage pour ne pas se tromper ensuite, LEGO faisant référence à leur longueur au moment de choisir quel exemplaire rejoint la construction. Vous pourrez toujours recouper certains des tubes avant de les installer et on mettra cette intégration esthétiquement un peu hasardeuse par endroits sur le compte du potentiel éducatif du produit avec la possibilité de suivre la progression de l'air depuis la pompe jusque vers les différents vérins. Les différentes fonctions sont documentées via quelques stickers plutôt explicites placés à côté des sélecteurs ou des molettes que mêmes les plus jeunes comprendront.
Un vérin pneumatique classique et deux vérins plus fins qui n'étaient jusqu'ici disponibles que dans le set 42043 Mercedes-Benz Arocs 3245 commercialisé en 2015 sont livrés dans cette boite, ces derniers étant inventoriés sous une nouvelle référence (6353188). Les valves pneumatiques fournies ne sont pas nouvelles : deux exemplaires sont dans le set 42080 Forest Harvester commercialisé en 2018 et on en trouve également un exemplaire dans le set LEGO Education 45400 Briq Motion Prime disponible depuis cette année.
Plus anecdotique mais toujours agréable sur un gros set de la gamme Technic : le moteur avec ses six "cylindres" en ligne visible en soulevant le capot est mis en mouvement par le déplacement du véhicule, les portières de la cabine s'ouvrent et la direction est déportée sur le toit via une molette. Pas de modèle alternatif à construire avec l'inventaire du set ou d'option de motorisation documentée par LEGO, mais le produit se suffit largement à lui-même sans ces deux possibilités supplémentaires.
Pour faire simple, ce produit vendu 149.99 € offre un large panel de ce que la gamme LEGO Technic a à proposer en matière de fonctionnalités non motorisées et fait très bon usage de l'écosystème pneumatique. Le véhicule est à mon avis esthétiquement très réussi, il combine intelligemment de nombreuses fonctions mécaniques et pneumatiques très bien intégrées et vous en aurez certainement pour votre argent.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 5 août 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Henri - Commentaire posté le 23/07/2021 à 23h20 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au dernier des trois sets de la gamme LEGO Monkie Kid commercialisés depuis le 1er juillet dernier : la référence 80028 The Bone Demon vendue au prix public de 109.99 €. Avec 1373 pièces, c'est la plus grosse boite de cette vague estivale d'une gamme qui totalise déjà plus d'un vingtaine de sets depuis son lancement en 2020.
La finalité de ce nouveau produit : assembler le Bone Demon, une créature inspirée du démon Bai Gu Jing présent dans le conte populaire chinois Journey to the West. La légende servant plus ou moins de référence à l'univers de la gamme Monkie Kid, les références y sont nombreuses mais sont souvent intégrées de manière plus ou moins fidèle.
Pour arriver au résultat promis, LEGO propose de construire plusieurs petits éléments qui une fois combinés entre eux formeront le démon d'une quarantaine de centimètres de haut. Chacun des sous-ensembles est plutôt convaincant même si on remarque inévitablement les pièces qui serviront à composer la créature principale du set. Un axe qui dépasse d'une araignée ou un Ball Joint qui reste dans le vide sur le corps du scorpion, il fallait bien anticiper la possibilité de réunir plus tard tous les éléments entre eux.
Il sera difficile de passer directement à la construction du démon lui-même sans suivre les instructions à la lettre. Ceux qui voudraient prendre un raccourci risquent de se perdre en cours de route entre les différentes modifications à apporter à chacun des sous-ensembles que l'on réunit à la fin du troisième livret. Le plus simple reste de suivre la progression proposée pour ne rater aucune étape et devoir remonter fastidieusement dans le processus d'assemblage.
Pris séparément, les différents éléments du set permettent de s'amuser un peu mais ils crient surtout leur envie de rejoindre le scorpion pour donner vie au Bone Demon. On aurait pu imaginer pouvoir assembler directement la créature et éventuellement ensuite dissocier les différents éléments pour étoffer un playset, mais personne n'aurait alors réellement profité de ces quelques araignées, de ce scorpion et des deux constructions annexes.
On aurait également pu s'attendre à un modèle qui ne réutilise qu'une partie des sous-assemblages mais la créature finale utilise presque tous les éléments du set à l'exception des colonnes du portique blanc qui n'intègrent pas la construction. On n'échappe pas à une imposante planche de stickers dont certains sont sur fond transparent pour ne pas pénaliser la phosphorescence des pièces sur lesquelles ils prennent place.
Le corps du scorpion sert de base au démon, on fixe ensuite le repaire de Lady Bone Demon sur lequel on clipse les pinces du scorpion qui deviennent les bras de la créature, on ajoute la décoration du portique pour la tête et les deux grosses araignées blanches aux pattes retournées viennent habiller les épaules. Deux sabres sont prévus pour que la créature puisse affronter le Monkie Kid installé de son côté dans son mini-mech propulsé par un nuage à moteur.
Le Bone Demon est au final très stable et l'ensemble de pièces phosphorescentes lui donne vraiment de l'allure dans la pénombre. De près, la finition n'est pas d'un niveau exceptionnel, mais le modèle mérite d'être observé à distance pour vraiment profiter du résultat obtenu grâce à l'assemblage des différents modules.
Du côté des minifigs livrées dans cette boite, le Monkie Kid profite d'un torse qui est pour l'instant exclusif à ce set et le reste des éléments qui composent la figurine est disponible dans d'autres boites de la gamme. Le jeune héros dispose ici de trois versions de son bâton, avec une arme grand format pour le mech, une version intermédiaire et l'accessoire habituel.
La minifig de Mei est celle déjà vue dans d'autres boites depuis le début de l'année, la jeune fille est livrée avec sa chevelure et son casque, elle peut être mise en scène dans sa tenue de vol en récupérant les ailes du nuage qui permet au mech de se déplacer dans les airs.
Plus intéressant, les deux Bone Spirits sont équipés de torses dont les bras sont phosphorescents, c'est également le cas pour la tête de ces deux créatures identiques qui reposent sur la pièce violette utilisée pour les Overlords de la gamme Ninjago en 2019. Les bras et la tête du White Bone Demon ne sont pas phosphorescents mais le personnage est décliné en deux versions avec un visage angélique et l'autre plus agressif et la possibilité de remplacer le bas de la robe par la pièce qui équipe aussi les deux Bone Spirits. Les tampographies sont impeccables, rien à dire.
Deux têtes de squelettes supplémentaires à placer dans les marmites transportées par les grosses araignées sont fournies, elles ne sont pas phosphorescentes.
Une fois de plus, la gamme Monkie Kid ne me déçoit pas avec un produit qui profite de tout ce que le concept LEGO a à offrir : Le playset est composé de nombreux éléments qui se suffisent à eux-mêmes et ne servent pas que de prétexte à l'assemblage de la créature. À l'arrivée, le Bone Demon maximise l'utilisation de ces différents éléments et le résultat est à mon avis visuellement très convaincant. Si j'étais plus jeune, je serais aux anges avec un produit comme celui-ci.
Comme pour les autres boites de la gamme, il sera difficile de trouver cette boite à un tarif inférieur à celui pratiqué par LEGO : le fabricant ne distribue pas cette gamme à ses revendeurs en France et ne commercialise ces produits destinés prioritairement au marché asiatique que parce qu'il s'est engagé à ne plus proposer "d'exclusivités géographiques".
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 3 août 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
cyborgeuh - Commentaire posté le 27/07/2021 à 1h34 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au contenu du set LEGO Technic 42129 4x4 Mercedes-Benz Zetros Trial Truck, une boite de 2110 pièces qui permettra dès le 1er août prochain et moyennant la modique somme de 299.99 € d'assembler un engin que LEGO nous présente sur la boite comme capable de soulever la poussière sur les terrains extérieurs les plus exigeants.
J'en rajoute, mais vous devez vous douter que cet engin de "trial" n'est pas prévu pour jouer dehors et qu'il appréciera moyennement la poussière ou le sable. On pourrait une fois de plus reprocher à LEGO d'en faire un peu trop sur l'emballage au risque de décevoir ceux qui se laisseront avoir par un visuel d'illustration trop prétentieux qui promet a priori un camion de course. Le visuel au dos de la boite qui met en scène le fonctionnement des suspensions sur terrain accidenté est lui aussi à mon avis un peu prétentieux, je n'ai pas vu mon Zetros finir avec les deux essieux dans cette position.
Attention également à l'intitulé du produit qui devient en français "Le camion d’essai 4x4 Mercedes-Benz Zetros" sans la mention "trial", un engin de ce type n'est pas pensé pour avaler les kilomètres à grande vitesse et les autocollants chatoyants à placer sur la carrosserie de ce véhicule Mercedes-Benz ne le feront pas aller plus vite.
Et c'est peu dire que ce jouet pour enfants ne se déplace pas très vite. Pour nous faire oublier que ce camion n'avance pas, LEGO fait diversion en mettant en avant ses capacités de franchissement et en insistant sur l'innovation majeure du produit : l'intégration d'un blocage des différentiels piloté via l'application Control+.
Pour 300 € et 2110 pièces dont 800 pins, il y a forcément quelque chose qui justifie en théorie le prix public hallucinant de ce jouet. Il faut donc regarder du côté des éléments de motorisation pour trouver de quoi ne pas trop en vouloir en LEGO de nous facturer ce camion de 48 cm de long au prix fort. Deux moteurs L, un moteur M, un Smart Hub, des suspensions à l'avant et à l'arrière, de nouveaux pneus de 81 mm de diamètre, une interface dédiée dans l'application Control+, pour LEGO le compte est bon. Pour ceux qui se poseraient la question, le Smart Hub livré dans la boite est le modèle habituel avec les clips de fermeture en plastique et ce n'est pas la version avec capot à visser visible sur les photos officielles.
L'assemblage est divisé en deux parties avec les sachets numérotés de 1 à 3 qui permettent de construire le châssis et toute la partie mécanique et les sachets 4 à 6 qui fournissent de quoi habiller ensuite le Zetros pour qu'il ressemble au modèle de référence avec notamment un bouclier joliment tampographié du logo du fabricant intégré à la calandre. Il faudra faire preuve d'une extrême vigilance lorsqu'il s'agira de connecter les différents arbres de transmission entre eux via les axes prévus, le livret d'instructions est très explicite sur l'alignement des encoches de chacun des axes.
Visuellement, ce Zetros est très réussi, il ressemble au véhicule de référence dont il a l'allure et les attributs caractéristiques. Il n'y a cependant pas besoin d'être un génie pour réaliser rapidement que la garde au sol est dérisoire avec 2 cm sous l'axe des roues, 5 centimètres au centre du véhicule et des moteurs placés dans le bas du châssis qui ne sont même pas complètement protégés. Difficile d'envisager du "trial" dans ces conditions, surtout que le camion est habillé de nombreux éléments qui ne manquent pas de se détacher au moindre choc, comme les rétroviseurs, le haut du pot d'échappement et même le canard jaune placé sur le pare-chocs.
On pourrait par ailleurs en conclure que LEGO a abusé sur la décoration du camion avec la flopée d'autocollants à mettre en place, mais il fallait bien faire de ce Zetros souvent utilisé à des fins militaires un véhicule plus fun. LEGO force le trait avec une kyrielle de sponsors colorés mais le résultat me semble visuellement plutôt réussi.
L'intérieur de la cabine est bien agencé avec ses sièges et son volant flanqué d'une Tile ronde 1x1 sur laquelle on colle un micro-sticker portant le logo du fabricant du véhicule. Le moteur est factice, il se contente de deux autocollants et d'un ventilateur sur un axe libre qui ne tourne que si on pousse dessus avec les doigts. Le plateau arrière est de son côté en partie couvert par une trappe technique qui permet en principe de jeter un œil sur la mécanique interne mais le panneau est bloqué par les arceaux arrières et ne s'ouvre malheureusement pas complètement sans avoir retiré au préalable les deux montants noirs...
Soyons honnête, ce Zetros en version LEGO n'est pas vraiment un camion de trial, il n'est pas suffisamment lesté, surtout sur l'arrière et malgré la présence des deux moteurs qui assurent la propulsion, pour profiter pleinement des possibilités offertes par les quatre suspensions et par le blocage des différentiels intégré. C'est tout juste un engin capable de monter des pentes sans obstacles et à condition de jouer sur une surface offrant suffisamment de grip pour que le véhicule accroche. Il reste la possibilité de charger un peu l'arrière du Zetros avec quelque chose pour améliorer la propulsion, mais la puissance disponible sera inévitablement affectée par ce poids supplémentaire.
Le verrouillage des différentiels fonctionne parfaitement, c'est la moindre des choses, et on sent tout l'apport de cette fonctionnalité lorsque la motricité est mise à l'épreuve et que le besoin de fournir une puissance équivalente à chacune des roues du camion se fait sentir. Le rayon de braquage est de son côté une blague, il faut un salon de 80m2 pour faire un rond. Pour le reste, si vous tentez l'aventure sur des obstacles trop anguleux et "escarpés", il faudra vous y reprendre à plusieurs fois pour trouver la bonne approche qui permet d'éviter que votre camion bascule ou se retrouve coincé reposant sur le châssis avec les quatre roues dans le vide.
L'autre détail qui empêche ce camion d'être un vrai véhicule de trial capable d'affronter les situations les plus périlleuses : les portières et le capot du moteur ne sont pas verrouillables. En descente et si la pente est raide, le capot du moteur s'ouvre donc accidentellement et les portières font de même lorsque le Zetros atteint un certain angle latéral. Comment est-il possible qu'un designer spécialisé dans cette gamme de produits n'ait pas pensé à ce détail ? je n'ai pas d'explication.
J'ai essayé de "jouer" avec ce produit en utilisant ce qui en principe se fait de mieux actuellement en matière de piles rechargeables, des accus NiZn de 1600 mAh, et la promesse est tenue : il y a bien suffisamment de couple pour que le Zetros puisse monter des pentes avec des angles assez impressionnants. Pour le reste, ce jouet vendu 300 € ne propose pas grand chose d'autre en matière de jouabilité, la déception étant plus souvent au rendez-vous en ce qui me concerne que la satisfaction de faire preuve d'un savoir-faire particulier en matière de pilotage.
Les deux modes de conduite proposés via l'application Control+, les quelques challenges sans grand intérêt et la fonctionnalité de réalité augmentée qui permet de visualiser les différents éléments mécanique en fonctionnement offrent des possibilités supplémentaires de se divertir autour de ce produit mais ne sauvent pas vraiment les meubles lorsqu'il s'agit de jouabilité pure. Et je rappelle à toutes fins utiles qu'il s'agit bien d'un jouet pour enfants de 12 ans et plus, pas d'une maquette pour fan adulte.
Les fans de l'univers Technic se régaleront sans doute de l'assemblage du système de blocage des différentiels et de l'activation / désactivation de la fonction via l'application Control +, mais ceux qui espéraient un véhicule tout-terrain un peu plus polyvalent comme l'est le vrai Zetros devront impérativement passer leur chemin sous peine de réaliser rapidement que les possibilités offertes par ce produit se limitent en réalité à grimper une planche placée à 45° ou à faire un peu de tout-terrain sur quelques tas de briques aux aspérités limitées.
Les plus motivés essaieront de tirer le meilleur des possibilités de ce produit de niche mais, pour 300 €, avoir la possibilité de se déplacer d'un point A à un point B sans y passer deux heures aurait vraiment été la bienvenue. Ceux qui n'achètent ces boites que pour exposer le véhicule concerné sur une étagère y trouveront eux aussi leur compte, ce Zetros en version LEGO étant suffisamment fidèle au véhicule de référence.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 1er août 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
Romain BAUER - Commentaire posté le 20/07/2021 à 7h59 |
On fait aujourd'hui rapidement le tour du set LEGO Star Wars 75309 Republic Gunship, une nouvelle boite de 3292 pièces estampillée Ultimate Collector Series qui ne doit son apparition au sein de la gamme LEGO Star Wars qu'à son succès lors de la consultation organisée en janvier 2020 sur la plateforme LEGO IDEAS.
Évacuons tout de suite l'erreur commise par LEGO sur l'emballage du produit et sur le livret d'instructions : le logo de la République Galactique y est remplacé par celui de l'Empire. Le fabricant admet volontiers son erreur mais se contente d'un communiqué laconique en forme de pirouette vaguement humoristique :
The dark side blurred our vision and we used the Galactic Empire logo on packaging and instructions for the 75309 LEGO Star Wars UCS Republic Gunship, while of course we should have used the logo of the Galactic Republic. However, the infiltration didn’t affect the actual model- which proudly displays the Galactic Republic logo. We are working to update the packaging and instructions. |
Le fabricant prévient également que la correction n'aura lieu au mieux qu'à la fin de l'année 2021 ou début 2022 et que le premier lot de sets déjà fabriqué sera vendu en l'état. À vous de voir si cette erreur justifie d'attendre la modification. Concernant le potentiel collector de cette édition "alternative" du produit qui sera disponible en volume pendant de longs mois, il faudra sans doute attendre quelques années pour capitaliser sur cette erreur.
Je dois dire que je suis un peu étonné qu'une erreur de ce type ait pu se glisser sur l'emballage et sur le livret d'instructions sans que personne ne la remarque à temps. On sait que la conception et la mise en production d'un set implique la participation de nombreux employés du groupe LEGO, de multiples étapes de validation ainsi que la consultation régulière des ayant-droits de la licence concernée. Absolument personne, depuis les designers jusqu'aux génies du marketing en passant par les spécialistes de la thématique Star Wars chez LEGO / Disney / Lucasfilm, n'a rien vu.
Ceci étant dit, cette version UCS d'un vaisseau qui a déjà été décliné par LEGO au format system en 2002 (7163 Republic Gunship), en 2008 (7676 Republic Attack Gunship) puis en 2013 (75021 Republic Gunship) était-elle vraiment indispensable ? À en croire les fans qui ont massivement voté pour ce vaisseau, c'est le cas. Je pense pourtant que nombre d'entre eux se voyaient déjà disposer d'une flopée de Clones ou de Cody en armure Phase 2, ils en seront pour leurs frais car il s'agit ici d'une imposante maquette à exposer qui n'est accompagnée que de deux minifigs.
L'échelle du vaisseau est déterminée par les deux bulles qui servent de verrières et le reste est construit autour. Ce Gunship n'est évidemment pas à l'échelle minifig, même si on peut installer Mace Windu et le Clone Trooper Commander sur les deux sièges qui paraissent presque à l'échelle et qui me semblent donc un peu sous-dimensionnés par rapport au reste du vaisseau.
La structure interne de la maquette est bien pensée, c'est la partie supérieure du vaisseau qui soutient le plancher et cette solution permet d'assurer une certaine rigidité à l'ensemble sans nous imposer trop de poutres traversant l'espace vide à l'arrière. Les différents panneaux de la coque sont eux un peu moins solides et il faudra être très vigilant lors des déplacements de la maquette. Les deux portes latérales mobiles sont par exemple fixées sur une seule poutre blanche via une unique rangée de tenons. Ces deux portes manquent d'ailleurs à mon avis d'un peu de finition et les zones grises autour des fentes auraient par exemple gagné à être recouvertes de Tiles pour vraiment reproduire l'effet visuel vu à l'écran.
La finition de la carlingue est plutôt correcte même si on n'échappe pas à une dizaine de plaques mates 6x6 avec leur point d'injection central bien visible sur les ailes et sur la rampe qui mène au cockpit. Il y avait sans doute mieux à faire que de se contenter de ces éléments qui sentent un peu la facilité. Le designer a en revanche fait de son mieux sur l'avant du vaisseau, avec un bel effort d'intégration des courbes vertes dans la carlingue qui compense les effets d'escalier et l'avant de la verrière transparente qui dépasse un peu.
Les ailes et les deux réacteurs sont solidement fixés à la carlingue, via un axe Technic pour les deux ailes et via quelques pins bleus pour les moteurs. Ces derniers sont traversés par un axe Technic sur une partie de leur longueur, leur solidité est assurée.
Les ailes sont lourdes, mais elles sont efficacement soutenues par les assemblages d'éléments Technic prévus pour qu'elles ne s'affaissent pas et l'empilement de plaques leur assure une rigidité maximale. Les deux ailes prennent un peu de volume au niveau de la jonction avec le corps du vaisseau, on évite les structures trop plates et un peu fades souvent présentes sur les modèles au format System. L'ensemble de l'armement habituellement embarqué par ces vaisseaux est présent avec des roquettes placées sous les ailes et à l'intérieur des deux portes latérales et deux rouleaux de missiles, rotatifs via quelques engrenages, intégrés entre les moteurs.
Vous l'aurez remarqué, les deux bulles mobiles en forme de mini Death Star avec leur poste de tir en principe occupé par un Clone Trooper ne sont pas parfaitement rondes. L'ajout d'une série d'éléments permettant de fixer les bulles sur leurs supports respectifs et l'intégration d'une couronne de pièces entre les deux demi-sphères déforment un peu ces deux constructions. Je salue tout de même l'effort de tampographie sur les huit demi-sphères fournies dans cette boite, même si j'imagine que LEGO n'aurait pas osé nous imposer des stickers à coller sur ces éléments.
La planche de stickers est d'ailleurs un peu mesquine pour un produit haut de gamme à 350 €, sachant qu'elle se contente majoritairement d'autocollants sur fond transparent ajoutant quelques détails visuels à la coque et de deux symboles de la République Galactique qui eux sont conformes à la différence de ceux présents sur la boite et sur le livret d'instructions. L'autre autocollant fourni est celui qui distille quelques facts sur le vaisseau avec une erreur sur la longueur de la chose : Starwars.com donne 17.69 m, LEGO écrit 17.4 m.
Le support de présentation du produit est bien conçu, il sait se faire discret et il permet d'exposer le Gunship de manière relativement dynamique, légèrement penché vers l'avant. Le vaisseau n'est pas solidaire du support, il se contente de reposer sur une pièce blanche qui vient s'imbriquer dans le plancher arrière qui reste donc immaculé. Sachant qu'il faudra libérer un espace d'environ 80x80 cm pour exposer le modèle, je pense que LEGO aurait pu se fendre d'un support rotatif qui aurait permis de profiter du vaisseau sous tous les angles sans devoir le saisir par sa partie centrale et le soulever.
Les deux minifigs fournies sont de simples éléments de décoration du support de présentation, et même si elles sont inédites sous cette forme, il faut donc se contenter de Mace Windu avec ses traces de poussière sur le torse et d'un Clone Trooper Commander Phase I un peu plus détaillé que celui du set 75019 AT-TE (2013) mais dispensable.
Dès le 1er août prochain, ce sera à chacun d'évaluer si ce vaisseau mérite vraiment l'investissement demandé par LEGO. La maquette est imposante, elle est relativement détaillée même si le sujet impose beaucoup de vide interne avec une carlingue autour et on obtient un imposant produit d'exposition de 68 cm de long sur 74 cm de large qu'il va falloir arriver à caser sur une étagère.
J'imagine que certains de ceux qui avaient voté pour ce set lors de la consultation initiale s'attendaient plutôt à un vaisseau moins gros et moins cher rempli de Clones Troopers, le set UCS 75098 Assault on Hoth ayant officiellement ouvert la porte à ce type de playset en 2016. Il n'en sera rien, il faudra débourser 349.99 € pour cette maquette d'exposition globalement réussie et se contenter des deux minifigs fournies.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 30 juillet 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
enzo35 - Commentaire posté le 16/07/2021 à 23h54 |
On s'intéresse aujourd'hui rapidement au contenu du set LEGO IDEAS 21328 Seinfeld, une boite de 1326 pièces inspirée du projet de Brent Waller qui avait su fédérer un large public et rassembler les 10.000 supporters nécessaires à l'examen de "l'idée" par LEGO. Le reste n'a été qu'une formalité, le projet ayant été définitivement validé par LEGO, et le produit final sera dans les rayons en avant-première VIP dès le 21 juillet prochain.
Comme pour les autres boites du même tonneau régulièrement commercialisées dans la gamme LEGO IDEAS, ce set est avant tout un pur produit de fan service. La recette du studio de tournage d'une sitcom populaire a déjà été largement essorée par les sets 21302 The Big Bang Theory (2015) et 21319 Central Perk (2019) et plus récemment par le set 10292 F⋅R⋅I⋅E⋅N⋅D⋅S Apartments, on reprend ici le même principe adapté au sujet traité.
Ici, la scène est à la gloire de la sitcom Seinfeld, une série très populaire outre-Atlantique dans les années 90 qui a eu un peu de mal à rencontrer le même succès chez nous pour diverses raisons dont un doublage en français tout juste passable.
Plus qu'une reproduction exhaustive du studio de tournage, il s'agit manifestement ici d'un produit très inspiré de la maquette officielle du plateau commercialisée pour près de 500 $ et qui n'intègre ni la salle de bains dont il ne reste que la porte, ni la chambre en principe accessible par le passage où est rangé le vélo vert.
Premier détail de finition qui saute aux yeux : le sol de l'appartement est entièrement recouvert de Tiles qui forment un joli plancher. Le designer qui a repris le projet en main s'est assuré de laisser des tenons disponibles pour installer les meubles et positionner quelques minifigs dans les lieux et l'effet est franchement réussi. Le set 10292 F⋅R⋅I⋅E⋅N⋅D⋅S Apartments avec son sol tout en tenons apparents semble du coup vraiment manquer de finition à côté du travail esthétique simple mais efficace réalisé ici.
On pourrait discuter de la couleur de la partie supérieure des murs, avec un blanc qui ne colle pas vraiment à la teinte vue à l'écran. Dans la sitcom, les murs sont plutôt gris, voire bleu très clair, mais ils ne sont en tout cas pas d'un blanc immaculé. Le contraste profite cependant au produit avec un plancher et du mobilier vraiment mis en valeur par ces murs qui se font un peu discrets.
Le mobilier à assembler dans cette boite est d'ailleurs très réussi avec de jolies techniques qui devraient plaire aux amateurs de Modulars et des éléments tous vraiment fidèles aux accessoires qui peuplent le studio. Je vous fais grâce des innombrables références à différents épisodes de la série, je ne vais pas faire semblant de me souvenir de chacun des épisodes que j'ai pu voir dans les années 90 et que je n'ai jamais revu depuis. Je me souviens tout de même de la climatisation Commando 8 installée par Kramer sur la fenêtre du bureau et du "Festivus Pole" de Frank Costanza, deux éléments repris dans le set.
Comme pour les autres produits LEGO qui mettent en scène une sitcom populaire, le fan service est assuré jusque dans les moindres détails et les adeptes de la série devraient y trouver leur compte. La grosse planche de stickers fournie vient en renfort pour rajouter une grosse louche de fan service, difficile d'imaginer le frigo sans les nombreux magnets, pense-bêtes et décorations vus à l'écrans. Dommage pour la découpe très imprécise de certains stickers qu'il faut décaler en les posant pour compenser les bordures inégales.
Comme d'habitude, tout ce qui n'est pas sur la planche de stickers que je vous ai scanné (voir ci-dessous) est tampographié. C'est notamment le cas des Tiles qui forment le motif du tapis du salon.
Chacun des épisodes des premières saisons de la série commençait par un sketch qui servait de thème à l'épisode concerné et la construction principale est accompagnée d'un petit module qui reproduit la scène du Comedy Club sur laquelle se produit Jerry Seinfeld. Pas de rideau, on se contentera d'un mur de briques rouges et l'élément est indépendant du reste du studio, il faudra lui trouver une place sur l'étagère.
Du côté des minifigs, c'est franchement plus mitigé avec des figurines qui peinent un peu à incarner les acteurs vus à l'écran. Heureusement que Jerry Seinfeld a un nouvelle coupe de cheveux qui associée à la chemise bleue fait immédiatement penser au personnage. C'est d'ailleurs la tenue de chacun des membres du casting qui garantit l'association d'idée plus que le visage ou la coiffure. Je ne suis pas fan du fond bleu sur les lunettes de George Costanza et Newman, on y perd un peu les codes habituels des minifigs LEGO.
À choisir, c'est encore Elaine Marie Benes qui me semble la plus réussie avec sa tenue et sa coiffure et malgré son visage générique. George Costanza porte son blouson rouge emblématique et la pièce qui sert de crâne / chevelure fonctionne plutôt bien, tout comme le rictus sur le visage. Le personnage aurait presque mérité une paire de jambes courtes pour vraiment marquer la différence de taille avec le reste du casting. La chemise de Cosmo Kramer est raccord mais la chevelure de loubard des années 60 n'est pas convaincante. Newman est totalement raté, rien ne va à part la tenue et LEGO insiste avec cette chevelure que je trouve inadaptée et pourtant déjà vue sur la tête de Dennis Nedry, une autre personnage culte incarné par l'acteur Wayne Knight.
Les tampographies sont très correctes, à part pour les zones de couleur chair dont la teinte varie en fonction de celle de la pièce sur laquelle LEGO a posé l'encre. Les jambes sont neutres mais ce n'est pas une critique, le sujet traité n'appelait pas forcément de tampographies à ce niveau.
Comme pour les références 21302 The Big Bang Theory (2015) et 21319 Central Perk (2019) et 10292 F⋅R⋅I⋅E⋅N⋅D⋅S Apartments (2021), cette boite ne s'adresse qu'aux fans de la sitcom traitée. Seinfeld n'est pas une série culte en France mais elle l'est bien outre-Atlantique. L'objectif est ici pour LEGO de proposer du fan service jusqu'à plus soif et de faire plaisir à tous ceux qui apprécient la série, ce que ce nouveau set fait plutôt bien. Il a aussi bénéficié d'un soin tout particulier sur la finition et le mobilier, on sent que le designer a vraiment essayé de proposer quelque chose de divertissant au niveau des techniques de construction.
Dommage pour les projecteurs qui sont encore une fois différents de ceux des autres plateaux de sitcoms proposés par LEGO, il y avait pourtant matière à essayer de maintenir une sorte de fil rouge entre les différentes boites en conservant le design de ces accessoires tel qu'il apparait dans le set 21319 Central Perk.
Si vous avez aimé Seinfeld, cette boite devrait vous plaire malgré ses quelques défauts et ses minifigs au look très approximatif lorsqu'elles sont prises hors contexte. Le prix public du set est fixé à 79.99 €, c'est le tarif de la nostalgie.
Note : Le set présenté ici, fourni par LEGO, est comme d'habitude mis en jeu. Date limite fixée au 29 juillet 2021 prochain à 23h59. Pour les nouveaux-venus, sachez qu'il vous suffit de poster un commentaire pour participer au tirage au sort.
Mise à jour : Le gagnant a été tiré au sort et a été prévenu par email, son pseudo est indiqué ci-dessous. Sans réponse de sa part à ma demande de coordonnées sous 5 jours, un nouveau gagnant sera tiré au sort.
BenAndBricks - Commentaire posté le 15/07/2021 à 18h21 |
- Beurgueur : Le vert fluo me manque mais j'adore l'aspect modulaire...
- Thibaud : J'aime bien 👍...
- druffus : Nostalgie 😍...
- Pacôme GISNEAU : Je prends ! On retrouve vraiment les set de notre enfance...
- Beline : Super...
- Jérôme : Ça me rappelle mes bons vieux lego des années 80...
- le8emenain : pas vraiment super convaincant , mais est t'on vraiment la c...
- Hvhk : Que de souvenir cela fait plaisir aux yeux de revoir ce type...
- chryseis : Comme quoi il n'y avait pas que des jolis sets dans les viei...
- L37 : Ahhh souvenirs!! J'ai eu le Blacktron Alienator je faisait l...
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